L'attention
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Gizmo
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Marie Gouze
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ishto
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Re: L'attention
Marie Gouze a écrit:Beau sujet pour toi Ishto. Développe un peu ton idée...
Bien lu,
attentivement.
lol
(par exemple là, je me dis "oouuuhhhhhh elle me taquine vu que j'ai débordé plus d'une fois".... alors que le "pour toi" devrait peut-être sonner autrement... et là, avant de répondre selon ce que j'en ai compris au premier abord, justement il s'agit pour moi de demander respectueusement ce qu'elle entend par ce "pour toi".)
ishto- Maitre Philosophe
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Date d'inscription : 30/09/2012
Re: L'attention
Spirale a écrit:Olive1968 a écrit:Restons courtois et respectueux, laissons l'autre s'exprimer sans se fermer, mais je suis entièrement d'accord cher ami.
Fayot.
Hé, hé !
- Spoiler:
- Suis-je assez laconique ?
Nelson- Grand Maitre Suprême
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Localisation : Hic et nunc
Re: L'attention
Nelson : on est pas jugé sur nos mimiques et attitudes en loge, sauf si bien entendu on fait l'andouille ou que l'on ne respecte pas le rituel.
Avoir des mimiques particulières lorsque l'on entend quelque chose qui nous choque ou qui nous inspire, cela peut provoquer un clin d'œil d'un frère ou une sœur sur la colonne d'en face. C'est du non verbal qui rejoint ou s'éloigne de sa manière de penser, mais qui dans l'absolu à permit de communiquer son état d'esprit du moment.
Puis, il a les gestes plus marqués, du style "coupe cette saloperie de clim qui me glace les os".
Avoir des mimiques particulières lorsque l'on entend quelque chose qui nous choque ou qui nous inspire, cela peut provoquer un clin d'œil d'un frère ou une sœur sur la colonne d'en face. C'est du non verbal qui rejoint ou s'éloigne de sa manière de penser, mais qui dans l'absolu à permit de communiquer son état d'esprit du moment.
Puis, il a les gestes plus marqués, du style "coupe cette saloperie de clim qui me glace les os".
Re: L'attention
Demander à qui? Il y'a quelqu'un qui est né pour la donner aux autres?
ishto- Maitre Philosophe
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Date d'inscription : 30/09/2012
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Re: L'attention
Beau sujet ... Car c'est toujours un beau sujet lorsqu'il va à l'encontre d'échanges établis.
Sur ce sujet là on va connaître un peu mieux ce que tu as dans le coffre. Pour l'instant je n'ai vu que du feu et de la colère comme si tu avais êtes gravement blaissé par les humains...
Pour toi Ishto... C'est une formule que j'utilise lorsque je veux faire un cadeau. Ça remplace mon sourire que tu ne peux voir.
Pour toi donc renforce l'idée que j'aimerais t'entendre parler de ce sujet.
Pour ma part je n'en ai rien à dire vu que j'excelle dans l'attention à l'autre. Ha ! Ha ! Ha ! Je blague bien sur. Malheureusement c'est un exercice qui m'est très pénible.
Sur ce sujet là on va connaître un peu mieux ce que tu as dans le coffre. Pour l'instant je n'ai vu que du feu et de la colère comme si tu avais êtes gravement blaissé par les humains...
Pour toi Ishto... C'est une formule que j'utilise lorsque je veux faire un cadeau. Ça remplace mon sourire que tu ne peux voir.
Pour toi donc renforce l'idée que j'aimerais t'entendre parler de ce sujet.
Pour ma part je n'en ai rien à dire vu que j'excelle dans l'attention à l'autre. Ha ! Ha ! Ha ! Je blague bien sur. Malheureusement c'est un exercice qui m'est très pénible.
Marie Gouze- Sage Confirmé
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Date d'inscription : 20/02/2013
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Re: L'attention
Spirale a écrit:Mais tu dois demander la parole avant de demander a couper la clim !
tu là montres à celui qui gère la télécommandes, puis tu grelottes, puis tu fais des ciseaux avec les doigts et souvent ça marche ... quand les piles ne sont pas à plat.
Re: L'attention
Par contre, ne pas utiliser son interprétation émotionnelle pour répondre à l'autre "trop tôt", ne veut pas dire pour autant jeter aux oubliettes cette dernière Ô que non, car c'est qu'on est prêt (du moins qu'on sait qu'on peut l'être) à être "spectateur" de choses personnelles de la plus haute importance qui autrefois étaient vouées à nous passer sous le nez lorsque nous les vivions activement, soit en bon acteur (et dieu sait si le meilleur est bien celui qui s'ignore l'être).
Mais il y'a un mais: J'appelle "intellectuel" non pas celui que son cerveau utilise (ça c'est une réalité commune), mais celle ou celui qui croit dur comme fer utiliser le sien, je tente de m'expliquer:
Cette pathologie est bien souvent rencontrée chez les personnes hautement cultivées, qui ont beaucoup plus de mots que le commun des mortels, et maîtrisent au-delà du nécessaire (ça devient souvent inaccessible pour la majorité) la façon de tourner les phrases sur leur grand atelier de savoirs. Déjà ils commettent un déni: Celui de faire comme s'ils ne savaient pas qu'ils auront bien peu de chance d'être compris à la lettre. Deuxièmement leur érudition colossale leur donne l'apparence d'être ce que je nommais plus haut "Être spectateur de ses propres interprétations émotionnelles". En fait, ne nous leurrons pas, il sont strictement et tout autant acteurs que bien des gens peu cultivés chez qui cette tendance peut, alors, se remarquer assez vite. Ils sont restés de grands enfants, mais juste pour la part qui veut dominer l'autre, et avec une force telle qu'elle ne peut être qu'inconsciente. C'est un peu ce qu'on appellerait le névrosé obsessionnel. Leur toute puissance s'est, dès leur plus jeune age, investie dans le mental sans aucune "castration"... et il faut bien admettre que comme l'intelligence est de notre siècle le plus grand tabou de l'humanité, difficile de ne pas leur ouvrir toutes les portes sans aucune modération. Dans la pratique, qu'est-ce que ça donne? Nous avons là à faire à des personnes qui, par la tournure que leur a fait prendre ce processus, sont par excellence celles qui auront le moins de chance de se confronter, pour leur bien et celui de leur entourage, au spectacle qu'ils donnent à voir: Ils seront d'indécrottables acteurs d'eux mêmes. ça rejoint bien quelque part une position de spectateur inconsciente, qui ne se rendra que très rarement et très difficilement consciente. Voilà, c'était juste une petite pensée, dont je me dédouane puisque déposée en ce lieu public, elle vous appartient désormais et peut être utilisée sans aucune restriction, même si je ne le voulais pas.
Mais il y'a un mais: J'appelle "intellectuel" non pas celui que son cerveau utilise (ça c'est une réalité commune), mais celle ou celui qui croit dur comme fer utiliser le sien, je tente de m'expliquer:
Cette pathologie est bien souvent rencontrée chez les personnes hautement cultivées, qui ont beaucoup plus de mots que le commun des mortels, et maîtrisent au-delà du nécessaire (ça devient souvent inaccessible pour la majorité) la façon de tourner les phrases sur leur grand atelier de savoirs. Déjà ils commettent un déni: Celui de faire comme s'ils ne savaient pas qu'ils auront bien peu de chance d'être compris à la lettre. Deuxièmement leur érudition colossale leur donne l'apparence d'être ce que je nommais plus haut "Être spectateur de ses propres interprétations émotionnelles". En fait, ne nous leurrons pas, il sont strictement et tout autant acteurs que bien des gens peu cultivés chez qui cette tendance peut, alors, se remarquer assez vite. Ils sont restés de grands enfants, mais juste pour la part qui veut dominer l'autre, et avec une force telle qu'elle ne peut être qu'inconsciente. C'est un peu ce qu'on appellerait le névrosé obsessionnel. Leur toute puissance s'est, dès leur plus jeune age, investie dans le mental sans aucune "castration"... et il faut bien admettre que comme l'intelligence est de notre siècle le plus grand tabou de l'humanité, difficile de ne pas leur ouvrir toutes les portes sans aucune modération. Dans la pratique, qu'est-ce que ça donne? Nous avons là à faire à des personnes qui, par la tournure que leur a fait prendre ce processus, sont par excellence celles qui auront le moins de chance de se confronter, pour leur bien et celui de leur entourage, au spectacle qu'ils donnent à voir: Ils seront d'indécrottables acteurs d'eux mêmes. ça rejoint bien quelque part une position de spectateur inconsciente, qui ne se rendra que très rarement et très difficilement consciente. Voilà, c'était juste une petite pensée, dont je me dédouane puisque déposée en ce lieu public, elle vous appartient désormais et peut être utilisée sans aucune restriction, même si je ne le voulais pas.
ishto- Maitre Philosophe
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Re: L'attention
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Nelson- Grand Maitre Suprême
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