Ciné Revue
+2
Lt Ripley
ishto
6 participants
Le Bandeau sur les yeux forum maçonnique :: Cellules grises...maçonniques ou non :: Culturez-vous :: Cinéma/Série
Page 2 sur 5
Page 2 sur 5 • 1, 2, 3, 4, 5
Re: Ciné Revue
Mais on doit se cantonner aux films noirs ? Ou la section est ouverte à tous les films ?
Re: Ciné Revue
Oui, Sylvie et Nastassja Kinski est d'une beauté....
febus64- Sage Confirmé
- Messages : 762
Date d'inscription : 18/05/2012
Age : 62
Localisation : Béarn
Re: Ciné Revue
Ah bah c'est Nastassja Kinski, quand même...
_________________
Ne prenez pas la vie trop au sérieux, de toute façon vous n'en sortirez pas vivant.
Re: Ciné Revue
Non, y'a aucune restriction.
C'est toutes époques confondues.
Juste, si possible, essayer d'épouser le thème (policier, horreur, drame, comédie...) lancé par un des participants afin qu'on ait une petite continuité sur quatre ou cinq films. Le temps qu'un autre participant arrive et change de thème. Ainsi ça nous évite de partir dans tous les sens. Voilà les photos, Fébus, pour le remake de la Féline.
C'est toutes époques confondues.
Juste, si possible, essayer d'épouser le thème (policier, horreur, drame, comédie...) lancé par un des participants afin qu'on ait une petite continuité sur quatre ou cinq films. Le temps qu'un autre participant arrive et change de thème. Ainsi ça nous évite de partir dans tous les sens. Voilà les photos, Fébus, pour le remake de la Féline.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Guthrie- .
- Messages : 2547
Date d'inscription : 30/09/2012
Re: Ciné Revue
Merci, Guthrie
febus64- Sage Confirmé
- Messages : 762
Date d'inscription : 18/05/2012
Age : 62
Localisation : Béarn
Bell, Book and Candle/Richard Quine
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Bell, Book and Candle/Richard Quine/1958
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Bell, Book and Candle/Richard Quine/1958
En attendant Sylvie sur La Féline, et après le duo Hepburn-Grant, un autre duo éternisé celui-ci par Vertigo (Kim Novak - James Stewart) dans une comédie mêlant mystère et mélancolie. Vous y verrez remuer masques de sorciers africains, sortilèges pyrotechniques, marmitte en ébulition contenant le plus visqueux breuvage contre les mauvais sorts, et même un chat, un chat-messager aussi casse-pieds que l'Azraël de Gargamel. Oui, la plantureuse Gil (Kim Novak), propriétaire d'une boutique d'art primitif, est sorcière ; c'est d'ailleurs affaire de famille puisque son frère (le truculent Jack Lemmon) et sa tante (la déjantée Elsa Lanchester) le sont aussi. Tous trois habitent le même immeuble. Ainsi que le charmant Shep (James Stewart), éditeur de profession, dont le seul pouvoir - et non des moindres - est de ne pas laisser Gil insensible. L'ennui, voyez-vous, c'est qu'une sorcière est inapte à éprouver sentiments. De plus elle se met en péril à aller contre "nature". On assure qu'à ses premières larmes elle perdrait irrémédiablement tout pouvoir. Voici donc notre Gil déchirée entre deux supplices : se sacrifier pour l'homme qu'elle aime en secret ou se priver de connaître l'amour en rayant Shep de sa vie.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
En lui jetant un sort, sort de désir, elle aménage un garde-fou pour s'empêcher d'aller plus loin dans leur relation. Mais vous connaissez les affres de l'amour... Difficile alors d'imaginer comment cette sorcière, même de glace, s'arrangera pour ne pas s'y brûler. Pour l'ambiance générale, c'est le New York des années 50 en plein Christmas Time : musique latino-jazz, avalanche de vert, de bleu, rouge, jaune, tableaux abstraits aux murs, sapin de noël nucléaire, club de jazz enfumé, vous aurez votre compte de décors colorés et chaleureux. Quant à l'humour, le ton est donné dès le début avec cette idée géniale du réalisateur de représenter chaque personne créditée au générique – acteurs, techniciens – par un masque ou une statuette africaine. A noter, la présence du showman français Philippe Clay que l'on voit chanter au Zodiac, le club de jazz où se réunissent la nuit les sorciers de la ville !
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Guthrie- .
- Messages : 2547
Date d'inscription : 30/09/2012
La Féline, Jacques Tourneur
Jacques Tourneur, La Féline, 1942
Ce film très court (pas même 1h15) et tourné avec très peu de moyens est diablement (oui, j'aime bien les clins d'oeil dans les adverbes) efficace. Une jeune femme, très jolie, y rencontre, au zoo, un charmant jeune homme. Aucun des deux n'est insensible au charme de l'autre. Pourtant, et même après leur mariage, un mur les sépare et empêche leur bonheur : frappée, croit-elle, par une malédiction ancestrale, elle est condamnée à se transformer en fauve si jamais ses émotions amoureuses devaient la dépasser. Outre que cela condamne le mari à patienter devant la porte de sa femme sans jamais la toucher, le film change petit à petit de focale, et la malheureuse victime du sort devient peu à peu le bourreau. La sympathie du spectateur la quitte progressivement pour se reporter sur le couple adultérin, la fraîcheur et l'amour sincère de sa rivale pour le mari.
Le noir et blanc est ici magnifique, le film est siglé RKO et cela se voit, jusque dans l'économie de moyens qui se transforme en signature : l'escalier magnifique de l'immeuble des jeunes mariés, qui résume très bien l'ambiance chez eux, est une récupération, c'est celui qu'avait utilisé Orson Welles dans La Splendeur des Amberson. Ainsi, le film de Tourneur acquiert un peu d'Edgar Poe. Le visage de Simone Simon devient de plus en plus inquiétant derrière son angélisme, jusqu'à l'acmé que constitue la scène de la piscine.
Evidemment, toute la clé du film repose dans le personnage du psychanalyste/hypnotiseur. L'ambiguïté du film est là : Simone Simon est-elle réellement ensorcelée ou bien est-elle seulement une femme qui se refuse ? Derrière la proposition de l'interner, se profile la silhouette de l'hystérique du XIXe siècle, à laquelle s'oppose la rivale, celle qui assume son corps : c'est bien elle qui est dans la piscine, qui se réfugie dans l'eau face à la menace - et ce n'est pas par hasard que c'est bien à ce moment-là qu'elle passe le plus près de la mort.
Ce film très court (pas même 1h15) et tourné avec très peu de moyens est diablement (oui, j'aime bien les clins d'oeil dans les adverbes) efficace. Une jeune femme, très jolie, y rencontre, au zoo, un charmant jeune homme. Aucun des deux n'est insensible au charme de l'autre. Pourtant, et même après leur mariage, un mur les sépare et empêche leur bonheur : frappée, croit-elle, par une malédiction ancestrale, elle est condamnée à se transformer en fauve si jamais ses émotions amoureuses devaient la dépasser. Outre que cela condamne le mari à patienter devant la porte de sa femme sans jamais la toucher, le film change petit à petit de focale, et la malheureuse victime du sort devient peu à peu le bourreau. La sympathie du spectateur la quitte progressivement pour se reporter sur le couple adultérin, la fraîcheur et l'amour sincère de sa rivale pour le mari.
Le noir et blanc est ici magnifique, le film est siglé RKO et cela se voit, jusque dans l'économie de moyens qui se transforme en signature : l'escalier magnifique de l'immeuble des jeunes mariés, qui résume très bien l'ambiance chez eux, est une récupération, c'est celui qu'avait utilisé Orson Welles dans La Splendeur des Amberson. Ainsi, le film de Tourneur acquiert un peu d'Edgar Poe. Le visage de Simone Simon devient de plus en plus inquiétant derrière son angélisme, jusqu'à l'acmé que constitue la scène de la piscine.
Evidemment, toute la clé du film repose dans le personnage du psychanalyste/hypnotiseur. L'ambiguïté du film est là : Simone Simon est-elle réellement ensorcelée ou bien est-elle seulement une femme qui se refuse ? Derrière la proposition de l'interner, se profile la silhouette de l'hystérique du XIXe siècle, à laquelle s'oppose la rivale, celle qui assume son corps : c'est bien elle qui est dans la piscine, qui se réfugie dans l'eau face à la menace - et ce n'est pas par hasard que c'est bien à ce moment-là qu'elle passe le plus près de la mort.
_________________
Ne prenez pas la vie trop au sérieux, de toute façon vous n'en sortirez pas vivant.
La Féline, Jacques Tourneur
Merci, Sylvie. J'ai revu La Féline hier soir et je me retrouve dans ton avis. Simone Simon, attachante au début avec son accent étranger mi-français et - pour les besoins du personnage - mi-serbe, devient assez vite personnage détestable comme si on nous préparait à ne pas regretter le sort qui l'attend. J'ai été envoûté aussi par le beau noir-et-blanc, apanage du film noir. Et la scène de la piscine, que tu pointes à juste raison comme climax du film, permet à Tourneur d'exploiter à merveille la palette ombres et lumières. J'ai ressenti des frissons à cette scène, vraiment ! Le côté un peu daté à mon sens, que l'on retrouve dans nombre de films de cette époque, sont les scènes bavardes où les personnages se plaisent, avec l'abc du docteur Freud sous le bras, à voir de la psychanalyse en toute chose. Mais c'est détail, La Féline, qui délivre intacts ses trésors d'angoisse, a tenu de fort belle manière l'épreuve du temps !
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Guthrie- .
- Messages : 2547
Date d'inscription : 30/09/2012
Répulsion/Roman Polanski
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Répulsion/Roman Polanski/1965
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Répulsion/Roman Polanski/1965
Le personnage de La Féline, que Sylvie fait justement osciller entre âme frappée de malédiction et corps refusant tout contact physique, me fait penser à la schizophrénique Carole de Répulsion. Sur la photo, malgré les apparences, on s'éloigne néanmoins de la panthère prête à bondir. Scotchée au mur, inhibée, nous voyons les premiers signes de sa descente aux enfers. Catherine Deneuve joue ici le rôle de sa carrière. Dirigée plus tard par de grands noms, Demy, Varda, Buñuel, Melville, Ferreri, Truffaut, jamais l'actrice à mon sens ne sera aussi convaincante que sous l'œil de Roman Polanski.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Carole, jeune manucure, habite avec sa sœur Hélène. La blonde Carole, diaphane, introvertie, s'oppose à Hélène, une brune piquante qui assume pleinement son corps ; la même dichotomie en somme que dans La Féline ou Mulholland Drive, la femme lumière d'un côté et la femme ombre. Avec une bienveillance mêlée d'inquiétude, son entourage cherche à savoir ce qui ne tourne pas rond chez elle : en vain. Prostrée, fuyant questions et regards, Carole, que la claustration dégénérescente entraîne bientôt à vivre recluse chez elle, espère trouver oxygène dans l'asphyxie du huis clos. Polanski renseigne assez vite le spectateur sur la psychologie du personnage. A la première scène nocturne, Helen et son amant, revenant d'une soirée où l'on devine qu'ils se sont désirés tout le long, font logiquement l'amour dans la chambre voisine de Carole, aux aguets. La manière dont Polanski traite la scène nous fait vivre la peur-rejet de la jeune femme vis-à-vis de l'acte sexuel : plans expressionnistes, plafond lugubre, cheminée sans feu, armoire à l'ombre monstrueuse, Carole écoute avec horreur les gémissements crescendo de sa sœur à côté. On comprendra les scènes suivantes qu'il s'agit bien de dégout et non d'une simple appréhension. Le dégout du corps, sa chaleur, son odeur, son haleine. Refoulant le charme et l'érotisme qui émanent d'elle au point d'en être foncièrement inconsciente, elle met tous les hommes dans le même sac, qu'ils soient animés ou non de "bonnes" intentions ; quand on a une araignée au plafond, la moindre approche vers soi ne peut être motivée que de mauvaises intentions.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
La descente aux enfers pour elle s'engage le jour où Hélène et son homme décident de partir en voyage. Ce départ va la condamner à affronter ses angoisses et la solitude. C'est le début d'un long cauchemar. N'étant en phase avec rien, tout fout le camp autour d'elle. Elle commence à souffrir d'hallucinations. La maison se lézarde. On pense alors à la nouvelle d'Egard Poe, La Chute de la Maison Usher, où abordée comme personnage à part entière la maison traduit la déchéance d'un esprit malade et les troubles qui vont avec. Dès lors, qui se risquera à pénétrer l'appartement de Carole, de gré ou de force, entrera dans son propre tombeau.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
La descente aux enfers pour elle s'engage le jour où Hélène et son homme décident de partir en voyage. Ce départ va la condamner à affronter ses angoisses et la solitude. C'est le début d'un long cauchemar. N'étant en phase avec rien, tout fout le camp autour d'elle. Elle commence à souffrir d'hallucinations. La maison se lézarde. On pense alors à la nouvelle d'Egard Poe, La Chute de la Maison Usher, où abordée comme personnage à part entière la maison traduit la déchéance d'un esprit malade et les troubles qui vont avec. Dès lors, qui se risquera à pénétrer l'appartement de Carole, de gré ou de force, entrera dans son propre tombeau.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Guthrie- .
- Messages : 2547
Date d'inscription : 30/09/2012
Re: Ciné Revue
qu'est-ce qu'elle me plait en plus aaaaaaaïïïïïïïïïïïïïïïïïïïïeeeeeeee!!!
ishto- Maitre Philosophe
- Messages : 1338
Date d'inscription : 30/09/2012
Age : 48
Localisation : tout près de toi, mon coeur
Re: Ciné Revue
elle a un regard à me décoller la pulpe du coeur
ishto- Maitre Philosophe
- Messages : 1338
Date d'inscription : 30/09/2012
Age : 48
Localisation : tout près de toi, mon coeur
Re: Ciné Revue
[quote="Guthrie"]
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
c'est pas pour pinailler mais précisément c'est le regard qu'elle a, à gauche: je ne sais pas qui de mon menton ou de mon sexe gagnera le premier mon nombril!
(je parierais qd même sur le décroché du menton)
ps: j'adooooore comme tu dépeins les choses, un régal! poouuuuu!
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
c'est pas pour pinailler mais précisément c'est le regard qu'elle a, à gauche: je ne sais pas qui de mon menton ou de mon sexe gagnera le premier mon nombril!
(je parierais qd même sur le décroché du menton)
ps: j'adooooore comme tu dépeins les choses, un régal! poouuuuu!
ishto- Maitre Philosophe
- Messages : 1338
Date d'inscription : 30/09/2012
Age : 48
Localisation : tout près de toi, mon coeur
Re: Ciné Revue
Je ne sais pas qui de mon menton ou de mon sexe gagnera le premier mon nombril!
(je parierais qd même sur le décroché du menton)
(je parierais qd même sur le décroché du menton)
Guthrie- .
- Messages : 2547
Date d'inscription : 30/09/2012
Re: Ciné Revue
loooool mais c'est ça:
ce regard, aaahhh! le rejet de l'autre personnifié!! et, pour un abandonnique comme moi, effleurer le vain espoir de se faire aimer par ce genre de regard est le Graal absolu. Y'a un truc comme ça en moi, avec l'age le mécanisme s'estompe mais ne cessera jamais totalement de fonctionner, y'en aura toujours une trace opérante. Son regard c'est la quintessence d'un velouté glacial
ce regard, aaahhh! le rejet de l'autre personnifié!! et, pour un abandonnique comme moi, effleurer le vain espoir de se faire aimer par ce genre de regard est le Graal absolu. Y'a un truc comme ça en moi, avec l'age le mécanisme s'estompe mais ne cessera jamais totalement de fonctionner, y'en aura toujours une trace opérante. Son regard c'est la quintessence d'un velouté glacial
ishto- Maitre Philosophe
- Messages : 1338
Date d'inscription : 30/09/2012
Age : 48
Localisation : tout près de toi, mon coeur
Re: Ciné Revue
yes sur la première des trois que tu viens de déposer.
ishto- Maitre Philosophe
- Messages : 1338
Date d'inscription : 30/09/2012
Age : 48
Localisation : tout près de toi, mon coeur
Re: Ciné Revue
Ouais, c'est à peu de chose la même photo sur laquelle tu as flashé en premier. A part que c'est une autre prise. J'espère que tous ces regards ne vont pas t'empêcher de fermer l'oeil, poto, sinon je m'en voudrais de te faire lever demain matin avec des cernes jusque-là.
Guthrie- .
- Messages : 2547
Date d'inscription : 30/09/2012
Re: Ciné Revue
t'inquiètes, déjà je pourrai même te remercier de me faire lever! La force du palan est avec toi ami!
ishto- Maitre Philosophe
- Messages : 1338
Date d'inscription : 30/09/2012
Age : 48
Localisation : tout près de toi, mon coeur
Re: Ciné Revue
ah ah ah! canaille! Passes une bonne nuit vas, je retourne à mes pitoyables essais de dessin, nouvelle passion, technique niveau petite section maternelle, inutile que j'essaye de surmonter mon mauvais coup de crayon, non, par contre là où je m'amuse beaucoup c'est justement d'arriver coût que coût à rendre un quelque chose de reconnaissable avec mes pauvres moyens de bord. Bien souvent c'est "l'erreur" qui va me donner la suite de l'idée, puis, en me plantant encore sur cette dernière, voilà à nouveau une erreur orientatrice, et ainsi de suite, .... aurais-je trouvé une tournure valorisante à mon évolution qui se fait par échecs successifs?
J'ai confiance en mon échec ^^ il ne m'a jamais fait faux-bond!
à domani, intéressant d'ouvrir un topic sur les regards (pas spirituels)?
J'ai confiance en mon échec ^^ il ne m'a jamais fait faux-bond!
à domani, intéressant d'ouvrir un topic sur les regards (pas spirituels)?
ishto- Maitre Philosophe
- Messages : 1338
Date d'inscription : 30/09/2012
Age : 48
Localisation : tout près de toi, mon coeur
Re: Ciné Revue
Ishto, qu'appelles-tu un abandonnique ?
Je me demande si je ne l'ai pas, Repulsion, quelque par sous une pile de DVD.
Mais ça me fait aussi penser à l'un de mes films fétiches, Rosemary's Baby. La photo se ressemble pas mal entre ces deux films, malgré la différence couleur/noir et blanc.
Je me demande si je ne l'ai pas, Repulsion, quelque par sous une pile de DVD.
Mais ça me fait aussi penser à l'un de mes films fétiches, Rosemary's Baby. La photo se ressemble pas mal entre ces deux films, malgré la différence couleur/noir et blanc.
_________________
Ne prenez pas la vie trop au sérieux, de toute façon vous n'en sortirez pas vivant.
Re: Ciné Revue
T'as raison, Sylvie, y'a une conjonction flagrante avec Rosemary. Tiens, tu me fais penser à Cassavetes qui joue dedans et ça me donne envie de revoir ses films en tant que réalisateur. Mais on pourrait avant donner nos avis sur Rosemary ? Enfin... comme tu veux. En tout cas rien ne presse, on a le temps.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Guthrie- .
- Messages : 2547
Date d'inscription : 30/09/2012
Re: Ciné Revue
AH oui, pour Rosemary, je suis d'accord.
Pour Cassavetes, je n'ai vu que Gloria et pas trop accroché (oui, shame on me). du coup, quand une petite salle a repassé Meurtre d'un bookmaker chinois, j'ai voulu y aller mais mon chéri a râlé et on ne l'a pas vu...
Pour Cassavetes, je n'ai vu que Gloria et pas trop accroché (oui, shame on me). du coup, quand une petite salle a repassé Meurtre d'un bookmaker chinois, j'ai voulu y aller mais mon chéri a râlé et on ne l'a pas vu...
_________________
Ne prenez pas la vie trop au sérieux, de toute façon vous n'en sortirez pas vivant.
Re: Ciné Revue
Bon ben restons sur Rosemary, no problem.
Guthrie- .
- Messages : 2547
Date d'inscription : 30/09/2012
Page 2 sur 5 • 1, 2, 3, 4, 5
Sujets similaires
» vient de paraître : le numéro 7 de la revue maçonnique numérique FIL INFOS LOGES
» vient de paraître : le numéro 8 de la revue maçonnique numérique FIL INFOS LOGES
» vient de paraître : le numéro 8 de la revue maçonnique numérique FIL INFOS LOGES
Le Bandeau sur les yeux forum maçonnique :: Cellules grises...maçonniques ou non :: Culturez-vous :: Cinéma/Série
Page 2 sur 5
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum