L'étymologie du terme religion
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Re: L'étymologie du terme religion
merci Giraudet de nous montrer avec Casenave que l'on peut être tout a fait a-thée et profondément religieux...comme beaucoup de beaux esprits...qui ont dépassé le petit bout de la lorgnette... c'est un bon début d'apprentissage
le murmu- Eternel chien fou
- Messages : 903
Date d'inscription : 13/06/2011
Localisation : pays des pictons
Re: L'étymologie du terme religion
Il n'y a pas, me semble-t-il, opposition entre les deux étymologies ( indo-européenne et latine.) mais il est, en effet, intéressant d'avoir les deux.
Claude St Malo- Grand Initié
- Messages : 4592
Date d'inscription : 21/09/2012
Re: L'étymologie du terme religion
Oui, et l'église s'est empressée de s'emparer de la racine du mot pour la faire sienne et créer le terme de "religion". Dans le sens où, comme le souligne le murmu, on peut être tout à fait "religieux" et ne pas être croyant. Les implications humaines, psychologiques et philosophiques, sont au moins aussi importantes que les religieuses en l'occurrence...
Le murmu : je me suis permis de supprimer l'un de tes messages ! Oh rassure-toi il n'y a rien de personnel, c'est parce que tu l'avais édité en double.
Le murmu : je me suis permis de supprimer l'un de tes messages ! Oh rassure-toi il n'y a rien de personnel, c'est parce que tu l'avais édité en double.
Invité- Invité
Re: L'étymologie du terme religion
Perso, donc, tant qu'à moi, j'ai fais une croix dessus... .
Pierre Detaille- Petit Sage
- Messages : 273
Date d'inscription : 25/03/2013
Localisation : Nord-West Temple street Ancorage
Re: L'étymologie du terme religion
Merci pour vos commentaires ! Oui la réponse de Michel Cazenave me semble fort juste et passionnante de par ses implications .Évidemment ce questionnement peut déboucher aussi sur le questionnement plus large de ce qu'est la religion, le sacré,le profane ,ainsi je propose ce texte intéressant sur la question :
L'objet « indéfinissable » des sciences des religions
Dans l'avant propos du Dictionnaire des faits religieux Régine Azria commence par rappeler qu'il n'est pas facultatif pour une science de définir son objet : « Dès leur origine, les sciences sociales des religions ont placé la question de la « définition » de leur objet au centre de leur préoccupation. Cet impératif de définition est en effet le premier pas de toute démarche scientifique, le préalable à toute possibilité d'approche critique41. » Régine Azria prend cependant acte de l'incapacité des sciences des religions à établir un consensus sur la définition la religion tout en considérant que « dans les sciences des religions, il y a place et matière à définitions multiples, donnant à voir emboîtement et complémentarités » et que « c'est la diversité même des points de vues que ces débats mettent en présence et confrontent, qui permet d'éclairer la complexité de cet objet « indéfinissable »41. » Le phénomène religieux est envisagé comme en miettes, fragmenté, polymorphe, comme une « réalité culturelle protéiforme44 », un phénomène kaléidoscopique, aux multiples manifestations ou facettes45, etc. La suggestion reste qu'il y aurait a découvrir une sorte d'unité dans la diversité ou un principe général dont procède la diversité.
Les problèmes que posent l'établissement d'une définition de la religion avaient cependant conduit assez tôt certains chercheurs à exclure la possibilité de définir la religion comme une essence universelle tout en affirmant la nécessité de se fonder sur des choses observables. Marcel Mauss déclarait ainsi en 1904 : « Il n'y a pas en fait une chose, une essence, appelée Religion ; il n'y a que des phénomènes religieux, plus ou moins agrégés en des systèmes qu'on appelle religions et qui ont une existence historique définie, dans des groupes d'hommes et en des temps déterminés46. » L'affirmation selon laquelle il n'y a pas d’essence de la religion est devenue un lieu commun des discours sur la religion au XXe siècle. Cependant, exclure qu'il y ait une essence de la religion au moment même où l'on affirme s'intéresser aux religions en leur existence historique ne règle pas le problème de la définition de la religion : pour savoir ce qu'il faut prendre pour objet d'observation, il faut avoir recours à une définition de la religion. Pour Jean Grondin la question de la définition de la religion reste celle de son essence nonobstant les préventions ou les incompréhension dont ce mot peut être l'objet : « l'air du temps, nominaliste, répugne à tout discours portant sur l’essence des choses, comme s'il s'agissait d'un gros mot. On associe alors, de manière caricaturale, l'essence à une idée un peu platonicienne, intemporelle et d'une constance absolue. [...] la question de l’essence de la religion, loin de chercher une idée a priori, veut répondre à une question plus élémentaire : de quoi parle-ton quand il est question de religion47 ? »
Dans son Traité d'histoire des religions Mircea Eliade estime qu'il n'est pas possible de poser une définition précise de la religion, et il propose en lieu et place de cette définition ce qu'il désigne comme une approximation48. Selon Mircea Eliade : « Toutes les définitions données jusqu'à présent du phénomène religieux présentent un trait commun : chaque définition oppose à sa manière, le sacré et la vie religieuse, au profane et à la vie séculaire. C'est quand il s'agit de délimiter la sphère de la notion de « sacré » que les difficultés commencent. » Mircea Eliade n'entend pas résoudre ces difficultés mais il en prend acte et laisse un caractère volontairement imprécis à la notion de sacré. Il reprend à ce sujet une thèse de Roger Caillois : « Au fond, du sacré en général, la seule chose qu'on puisse affirmer valablement est contenue dans la définition même du terme : c'est ce qui s'oppose au profane. Dès que l'on s'attache à préciser la nature, la modalité de cette opposition, on se heurte aux plus grands obstacles. Qu'elle qu'élémentaire qu'elle soit, aucune formule n'est applicable à la complexité labyrinthique des faits48. » Il s'agit donc de partir d'une approximation pour pouvoir s'intéresser aux « faits religieux » ainsi approximativement définis et dont l'étude permettrait d'en savoir plus sur la nature du phénomène étudié. Toutefois, l'idée selon laquelle la religion relèveraient en toutes situations d'une opposition entre sacré et profane a aussi été contestée. Philippe Borgeaud, estime ainsi que l'on ne trouve guère dans la littérature ancienne d’équivalence à l’opposition entre sacré et profane49. Les textes dits « sacrés » de Mésopotamie, d'Égypte, d'Israël ou de Grèce antiques, permettent certes de trouver des catégories qui ressemblent à l'idée de sacré, mais, d'une part, le sacré n'y est généralement pas en opposition à un profane, d'autre part il n'y a pas homogénéité des catégories qui ressemblent à celle de sacré. Seuls les textes bibliques donnent prise à l'identification d'une bipartition entre ce qui est saint (qadesh) et ce qui est commun (khol) ou entre ce qui est pur et impur49, mais ces termes ne correspondent à ce qui peut se concevoir aujourd’hui comme opposition entre sacré et profane que dans la mesure où ces notions gardent un caractère très imprécis.
Régine Azria estime que l'absence de consensus sur ce que sont les religions dans les sciences des religions est dû à ce que la religion change et se transforme sans cesse : « le travail de définition cherche inlassablement sa voie à travers des débats infiniment recommencés, continuellement déjoués par les transformations, les renouvellements, les effacements et les ré-émergences de l'objet polymorphe que les chercheurs s'efforcent de saisir41. »
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— Bernard Bolzano, Lehrbuch der Religionswissenschaft, (1834) §63.« Un des traits les plus étonnants des penseurs de notre époque est qu'ils ne se sentent pas du tout liés par ou du moins ne satisfont que médiocrement aux règles jusque là en vigueur de la logique, notamment au devoir de dire toujours précisément avec clarté de quoi l'on parle, en quel sens on prend tel ou tel mot, puis d'indiquer pour quelles raisons on affirme telle ou telle chose, etc.43. »
Dans l'avant propos du Dictionnaire des faits religieux Régine Azria commence par rappeler qu'il n'est pas facultatif pour une science de définir son objet : « Dès leur origine, les sciences sociales des religions ont placé la question de la « définition » de leur objet au centre de leur préoccupation. Cet impératif de définition est en effet le premier pas de toute démarche scientifique, le préalable à toute possibilité d'approche critique41. » Régine Azria prend cependant acte de l'incapacité des sciences des religions à établir un consensus sur la définition la religion tout en considérant que « dans les sciences des religions, il y a place et matière à définitions multiples, donnant à voir emboîtement et complémentarités » et que « c'est la diversité même des points de vues que ces débats mettent en présence et confrontent, qui permet d'éclairer la complexité de cet objet « indéfinissable »41. » Le phénomène religieux est envisagé comme en miettes, fragmenté, polymorphe, comme une « réalité culturelle protéiforme44 », un phénomène kaléidoscopique, aux multiples manifestations ou facettes45, etc. La suggestion reste qu'il y aurait a découvrir une sorte d'unité dans la diversité ou un principe général dont procède la diversité.
Les problèmes que posent l'établissement d'une définition de la religion avaient cependant conduit assez tôt certains chercheurs à exclure la possibilité de définir la religion comme une essence universelle tout en affirmant la nécessité de se fonder sur des choses observables. Marcel Mauss déclarait ainsi en 1904 : « Il n'y a pas en fait une chose, une essence, appelée Religion ; il n'y a que des phénomènes religieux, plus ou moins agrégés en des systèmes qu'on appelle religions et qui ont une existence historique définie, dans des groupes d'hommes et en des temps déterminés46. » L'affirmation selon laquelle il n'y a pas d’essence de la religion est devenue un lieu commun des discours sur la religion au XXe siècle. Cependant, exclure qu'il y ait une essence de la religion au moment même où l'on affirme s'intéresser aux religions en leur existence historique ne règle pas le problème de la définition de la religion : pour savoir ce qu'il faut prendre pour objet d'observation, il faut avoir recours à une définition de la religion. Pour Jean Grondin la question de la définition de la religion reste celle de son essence nonobstant les préventions ou les incompréhension dont ce mot peut être l'objet : « l'air du temps, nominaliste, répugne à tout discours portant sur l’essence des choses, comme s'il s'agissait d'un gros mot. On associe alors, de manière caricaturale, l'essence à une idée un peu platonicienne, intemporelle et d'une constance absolue. [...] la question de l’essence de la religion, loin de chercher une idée a priori, veut répondre à une question plus élémentaire : de quoi parle-ton quand il est question de religion47 ? »
Dans son Traité d'histoire des religions Mircea Eliade estime qu'il n'est pas possible de poser une définition précise de la religion, et il propose en lieu et place de cette définition ce qu'il désigne comme une approximation48. Selon Mircea Eliade : « Toutes les définitions données jusqu'à présent du phénomène religieux présentent un trait commun : chaque définition oppose à sa manière, le sacré et la vie religieuse, au profane et à la vie séculaire. C'est quand il s'agit de délimiter la sphère de la notion de « sacré » que les difficultés commencent. » Mircea Eliade n'entend pas résoudre ces difficultés mais il en prend acte et laisse un caractère volontairement imprécis à la notion de sacré. Il reprend à ce sujet une thèse de Roger Caillois : « Au fond, du sacré en général, la seule chose qu'on puisse affirmer valablement est contenue dans la définition même du terme : c'est ce qui s'oppose au profane. Dès que l'on s'attache à préciser la nature, la modalité de cette opposition, on se heurte aux plus grands obstacles. Qu'elle qu'élémentaire qu'elle soit, aucune formule n'est applicable à la complexité labyrinthique des faits48. » Il s'agit donc de partir d'une approximation pour pouvoir s'intéresser aux « faits religieux » ainsi approximativement définis et dont l'étude permettrait d'en savoir plus sur la nature du phénomène étudié. Toutefois, l'idée selon laquelle la religion relèveraient en toutes situations d'une opposition entre sacré et profane a aussi été contestée. Philippe Borgeaud, estime ainsi que l'on ne trouve guère dans la littérature ancienne d’équivalence à l’opposition entre sacré et profane49. Les textes dits « sacrés » de Mésopotamie, d'Égypte, d'Israël ou de Grèce antiques, permettent certes de trouver des catégories qui ressemblent à l'idée de sacré, mais, d'une part, le sacré n'y est généralement pas en opposition à un profane, d'autre part il n'y a pas homogénéité des catégories qui ressemblent à celle de sacré. Seuls les textes bibliques donnent prise à l'identification d'une bipartition entre ce qui est saint (qadesh) et ce qui est commun (khol) ou entre ce qui est pur et impur49, mais ces termes ne correspondent à ce qui peut se concevoir aujourd’hui comme opposition entre sacré et profane que dans la mesure où ces notions gardent un caractère très imprécis.
Régine Azria estime que l'absence de consensus sur ce que sont les religions dans les sciences des religions est dû à ce que la religion change et se transforme sans cesse : « le travail de définition cherche inlassablement sa voie à travers des débats infiniment recommencés, continuellement déjoués par les transformations, les renouvellements, les effacements et les ré-émergences de l'objet polymorphe que les chercheurs s'efforcent de saisir41. »
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Re: L'étymologie du terme religion
A propos de religion voici quelques variations:
Merci Olive je te fais un gros poutou !
Le problème au Moyen-Orient, c'est qu'ils ont mis la charia avant
l'hébreu...
Mieux vaut être une vraie croyante qu'une fausse sceptique.
Jésus-Christ est un exemple pour tous : même en mauvaise posture,
il n'a jamais baissé les bras.
J'ai l'intention de vivre éternellement, pour le moment, tout se
passe comme prévu.
Que celui qui n'a jamais bu me jette la première bière.
Jeanne d'Arc s'est éteinte le 30 mai 1431, environ deux heures
après sa mort.
Ma femme me traite comme un Dieu : elle oublie totalement mon
existence sauf quand elle a besoin de moi.
Merci Olive je te fais un gros poutou !
Le problème au Moyen-Orient, c'est qu'ils ont mis la charia avant
l'hébreu...
Mieux vaut être une vraie croyante qu'une fausse sceptique.
Jésus-Christ est un exemple pour tous : même en mauvaise posture,
il n'a jamais baissé les bras.
J'ai l'intention de vivre éternellement, pour le moment, tout se
passe comme prévu.
Que celui qui n'a jamais bu me jette la première bière.
Jeanne d'Arc s'est éteinte le 30 mai 1431, environ deux heures
après sa mort.
Ma femme me traite comme un Dieu : elle oublie totalement mon
existence sauf quand elle a besoin de moi.
Pierre Detaille- Petit Sage
- Messages : 273
Date d'inscription : 25/03/2013
Localisation : Nord-West Temple street Ancorage
Re: L'étymologie du terme religion
Elles sont toutes excellentes mais j'aime particulièrement la dernière !
La quatrième aussi, très bon !
La quatrième aussi, très bon !
Invité- Invité
Re: L'étymologie du terme religion
En un sens nous sommes tous un peu dans la situation des hommes de la caverne de Platon , depuis l'enfance nous avons appris de nombreuses choses par notre éducation familiale et sociale puis à mesure que nous vieillissons nous nous apercevons combien nous savons peu de choses sur le monde et sur nous-mêmes, et c'est peut-être à ce moment là que nous commençons un peu à comprendre et à apprendre réellement un peu quelque chose de plus vrai et de plus essentiel..
Re: L'étymologie du terme religion
Si vous parlez à Dieu, vous êtes croyant. S’il vous répond, vous êtes schizophrène
Dieu a donné un cerveau et un sexe à l’homme mais pas assez de sang pour irriguer les deux à la fois
Zoé demanda à Robinson de la croire et Robinson Crusoé
Olive, j'aimerais dans les limites des possibilités venir à vos agapes un de ces quatre ou plutôt un de ces 3 et plus... .
Attention que 1200kms nous sépare !
Bhé oui, je m'invite quoi ! Et alors Maaarde c'est pas la guerre de 78 quoi ?!
Que tout le monde puisse voir cette annonce rédigée si religieusement et se dise(nt):" Oh ciel ! Et moi aussi je voudrais que Pierre vienne, comme on dit en Autriche... .
Pardon Giraudet d'utiliser ce canal pour mes messages persos, quoi que si on lit bien pour ceux qui savent lire et écrire, ce n'est pas un message, mais bien une circulaire.
Je planche pour illustrer tes propos de manière plus sérieuses... .
Dieu a donné un cerveau et un sexe à l’homme mais pas assez de sang pour irriguer les deux à la fois
Zoé demanda à Robinson de la croire et Robinson Crusoé
Olive, j'aimerais dans les limites des possibilités venir à vos agapes un de ces quatre ou plutôt un de ces 3 et plus... .
Attention que 1200kms nous sépare !
Bhé oui, je m'invite quoi ! Et alors Maaarde c'est pas la guerre de 78 quoi ?!
Que tout le monde puisse voir cette annonce rédigée si religieusement et se dise(nt):" Oh ciel ! Et moi aussi je voudrais que Pierre vienne, comme on dit en Autriche... .
Pardon Giraudet d'utiliser ce canal pour mes messages persos, quoi que si on lit bien pour ceux qui savent lire et écrire, ce n'est pas un message, mais bien une circulaire.
Je planche pour illustrer tes propos de manière plus sérieuses... .
Dernière édition par Pierre Detaille le Ven 21 Juin - 16:15, édité 1 fois
Pierre Detaille- Petit Sage
- Messages : 273
Date d'inscription : 25/03/2013
Localisation : Nord-West Temple street Ancorage
Re: L'étymologie du terme religion
Pierre Detaille a écrit:Perso, donc, tant qu'à moi, j'ai fais une croix dessus... .
là, je suis cloué !!!
Re: L'étymologie du terme religion
Merci Pierre de Taille pour tes claires explications ! J'avoue que je commençais un peu à perdre le fil ..
Pierre Detaille- Petit Sage
- Messages : 273
Date d'inscription : 25/03/2013
Localisation : Nord-West Temple street Ancorage
Re: L'étymologie du terme religion
Dans le cadre d'un questionnement sur Dieu je signale la belle démarche de réflexion du blog :
La philosophie chez Germina .
Son dernier article porte sur ce thème :
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Ainsi que son avant-dernier article :
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