Mourir dans la rue, jusqu'à quand ?
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Mourir dans la rue, jusqu'à quand ?
Permettez-moi de lancer un nouveau sujet pour la semaine, certes pas très gai mais de circonstances ! C'est une chose qui me révolte particulièrement. Surtout lorsque je constate que des millionnaires, pour ne pas dire des milliardaires, gaspillent leurs capitaux dans l'achat d'un tableau par exemple ! Peut-on tomber plus bas ? Je sais que le sujet pourrait être vite bouclé, l'éternel égoïsme humain, mais n'y a t-il pas moyen d'éduquer les jeunes générations pour que celles ci changent, ou du moins essaient de changer la situation ? Je suis un idéaliste, je sais.
Invité- Invité
Re: Mourir dans la rue, jusqu'à quand ?
Je n'ai pas bien compris le sujet, OLIVE,
Parlons-nous du "scandale" des sommes dépensées par certains
ou des manifestations de rue qui sont contrées par les chars ou les fusils.
" Mourir pour des idées, d'accord, mais de mort lente" Brassens.
Parlons-nous du "scandale" des sommes dépensées par certains
ou des manifestations de rue qui sont contrées par les chars ou les fusils.
" Mourir pour des idées, d'accord, mais de mort lente" Brassens.
Re: Mourir dans la rue, jusqu'à quand ?
L'éternelle dichotomie entre le trop et le trop peu.
On ne changera pas l'homme.
Commençons par traquer le gaspillage à notre niveau.
Et pensons de temps à autre à l'homme lointain.
On ne changera pas l'homme.
Commençons par traquer le gaspillage à notre niveau.
Et pensons de temps à autre à l'homme lointain.
Nelson- Grand Maitre Suprême
- Messages : 6859
Date d'inscription : 25/04/2011
Localisation : Hic et nunc
Re: Mourir dans la rue, jusqu'à quand ?
Si je ne me trompe pas, Olive souhaite que nous parlions de ce sujet d'actualité qui reviens si dramatique année après année et qui veut que malgré toute la modernité de notre belle civilisation (ça c'est d'actualité aussi tiens :p ) des femmes, des hommes, voire des enfants, vivent encore et en ce moment meurt de froid dans les rues.
Et attention, qui dit dans la rue dit en réalité hors de notre société !
Tous, moi le premier, passons régulièrement auprès de gens qui mendient, qui ont besoin de l'aide de la société. Et nous ne faisons rien, ou presque. Une pièce de temps en temps, des dons aux restos du coeur, au secours populaire, au secours catholique, à la banque alimentaire, à la croix rouge... C'est bien mais force est de constater que cela ne suffit pas.
Et puis qu'y pouvons nous ? A titre individuel sans doute pas grand chose, à moins de s'engager dans le samu-social et assimilés. Pour ça il faut du temps et du courage pour cotoyer ainsi la grande misère humaine.
Ce sujet doit être pensé, repensé à plusieurs et en haut lieu. Utilisons les outils laissé par nos ancêtres (et pas seulement les franc-maçons) . Liberté, Egalité, Fraternité. Dans ces trois mots qui forment la devise des républiques françaises nous trouvons déjà presque tout ce qu'il faut.
Bien sur ça n'est pas trop à la mode, ça demanderai de revenir à une part d'idéologie et plus de seul pragmatisme gestionnaire. Et on me sortira cette affreuse phrase "On est pas au pays des Bisounours ici !" Pauvre C** !!!
Si nul philosophe, nul libre-penseur, nul citoyen révolté n'avait osé croire à un idéal meilleur aucun progrès social n'aurait vu le jour. On en serait encore à un système féodal, voire à l'empire romain.
Oui il faut regarder les choses en face et oui il faut oser aussi avoir des idées, accepter de les défendre, de les porter, de combattre pour un monde que l'on croit plus juste et ne pas céder au cynisme ambient qui voudrait nous faire abdiquer devant je ne sais quel pouvoir mondialiste, financier ou libéral.
NB : Ce nouvel ordre n'est pas au mains des Franc-maçon. Dommage pour moi
Et attention, qui dit dans la rue dit en réalité hors de notre société !
Tous, moi le premier, passons régulièrement auprès de gens qui mendient, qui ont besoin de l'aide de la société. Et nous ne faisons rien, ou presque. Une pièce de temps en temps, des dons aux restos du coeur, au secours populaire, au secours catholique, à la banque alimentaire, à la croix rouge... C'est bien mais force est de constater que cela ne suffit pas.
Et puis qu'y pouvons nous ? A titre individuel sans doute pas grand chose, à moins de s'engager dans le samu-social et assimilés. Pour ça il faut du temps et du courage pour cotoyer ainsi la grande misère humaine.
Ce sujet doit être pensé, repensé à plusieurs et en haut lieu. Utilisons les outils laissé par nos ancêtres (et pas seulement les franc-maçons) . Liberté, Egalité, Fraternité. Dans ces trois mots qui forment la devise des républiques françaises nous trouvons déjà presque tout ce qu'il faut.
Bien sur ça n'est pas trop à la mode, ça demanderai de revenir à une part d'idéologie et plus de seul pragmatisme gestionnaire. Et on me sortira cette affreuse phrase "On est pas au pays des Bisounours ici !" Pauvre C** !!!
Si nul philosophe, nul libre-penseur, nul citoyen révolté n'avait osé croire à un idéal meilleur aucun progrès social n'aurait vu le jour. On en serait encore à un système féodal, voire à l'empire romain.
Oui il faut regarder les choses en face et oui il faut oser aussi avoir des idées, accepter de les défendre, de les porter, de combattre pour un monde que l'on croit plus juste et ne pas céder au cynisme ambient qui voudrait nous faire abdiquer devant je ne sais quel pouvoir mondialiste, financier ou libéral.
NB : Ce nouvel ordre n'est pas au mains des Franc-maçon. Dommage pour moi
maat-ieu- Nouveau né
- Messages : 90
Date d'inscription : 13/06/2011
Localisation : Au sud de l'Armorique et de Brocéliande
Re: Mourir dans la rue, jusqu'à quand ?
OK, il ne s'agit pas des révolutionnaires Egyptiens, Syriens, Tunisiens, Yéménites ....qui meurent dans la rue sous les coups de feu.
Il s'agit des gens qui meurent de faim et froid dans la rue.
Liberté et égalité me paraissent deux termes antinomiques. On ne peut à la fois demander l'égalité et la liberté d'être différent.
Simplement tout le monde doit pouvoir bénéficier d'un toit et de nourriture... de conditions humaines et dignes de survie. Or, notre société fabrique des exclus, ou des exclus se sont exclus eux mêmes.
Fi de le liberté, je serais pour qu'il soit interdit de dormir dans la rue et que la société offre un minimum de confort. ¨Pour le prix d'une intervention en Lybie, combien de logements et de revenus minima d'existence possibles ?
Moins de libertés et plus de justice et de protection : l'Etat providence, pourquoi pas, si le minimum donné n'incite pas à s'en contenter.
Il s'agit des gens qui meurent de faim et froid dans la rue.
Liberté et égalité me paraissent deux termes antinomiques. On ne peut à la fois demander l'égalité et la liberté d'être différent.
Simplement tout le monde doit pouvoir bénéficier d'un toit et de nourriture... de conditions humaines et dignes de survie. Or, notre société fabrique des exclus, ou des exclus se sont exclus eux mêmes.
Fi de le liberté, je serais pour qu'il soit interdit de dormir dans la rue et que la société offre un minimum de confort. ¨Pour le prix d'une intervention en Lybie, combien de logements et de revenus minima d'existence possibles ?
Moins de libertés et plus de justice et de protection : l'Etat providence, pourquoi pas, si le minimum donné n'incite pas à s'en contenter.
Re: Mourir dans la rue, jusqu'à quand ?
Exact. Entre liberté et égalité, il faut choisir.
C'est empoisonnant, hein, le problème du choix.
Que ceux qui veulent les avantages sans les inconvénients réfléchissent à deux fois avant de se ruer sur l'Europe comme sur un Eldorado !
C'est empoisonnant, hein, le problème du choix.
Que ceux qui veulent les avantages sans les inconvénients réfléchissent à deux fois avant de se ruer sur l'Europe comme sur un Eldorado !
Nelson- Grand Maitre Suprême
- Messages : 6859
Date d'inscription : 25/04/2011
Localisation : Hic et nunc
Re: Mourir dans la rue, jusqu'à quand ?
Non ! C'est "maat-ieu" qui a bien saisi mon propos, je fais bien allusion aux êtres humains qui meurent de froid dans les rues fautes de logement !
Cela dit, vos réponses ne sont pas inintéressantes non plus Nelson et abac, sauf que vous êtes un peu hors sujet ! (Quoi que !) Mais c'est de ma faute, j'aurais du être plus précis dans la formulation de ma question.
Cela dit, vos réponses ne sont pas inintéressantes non plus Nelson et abac, sauf que vous êtes un peu hors sujet ! (Quoi que !) Mais c'est de ma faute, j'aurais du être plus précis dans la formulation de ma question.
Invité- Invité
Re: Mourir dans la rue, jusqu'à quand ?
Tu crèves de froid, vas sur la pelouse de foot, c’est chauffé !
Sans commentaires ...
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eric- Petit Sage
- Messages : 486
Date d'inscription : 14/06/2011
Localisation : pays de Grevisse, de Servais, ou encore de la Mère Famenne
Re: Mourir dans la rue, jusqu'à quand ?
Oui eric, et avec le salaire d'un seul des joueurs nous pourrions construire un centre d'hébergement pour chaque personne dans la détresse !
J'exagère à peine... Et cela me donne la nausée !
J'exagère à peine... Et cela me donne la nausée !
Invité- Invité
Re: Mourir dans la rue, jusqu'à quand ?
C'est là que nous ne pouvons dire que nous sommes pas dans une bonne civilisation .
Re: Mourir dans la rue, jusqu'à quand ?
abac, tu es sur de ta phrase, la ? ou je n'ai pas décelé l'ironie.
rbbe41- Maitre Philosophe
- Messages : 2073
Date d'inscription : 28/06/2011
Age : 48
Localisation : Suisse
Re: Mourir dans la rue, jusqu'à quand ?
Je suppose que c'est plus de la responsabilité des joueurs que de ceux qui leur donnent le fric. Ils sont payés selon le revenu qui est généré grâce à eux, donc je trouve ça normal qu'ils reçoivent autant d'argent. C'est discutable, moralement, mais ça reste normal. Si ils gardent cet argent pour eux, c'est leur responsabilité. Bill Gates donne une part considérable de sa fortune à des associations caritatives.
Je suis comme toi, je n'aime pas le fatalisme, mais je n'aime pas m'en prendre à des gens qui ont les moyens d'aider et qui ne le font pas, on tombe trop facilement dans une rhétorique culpabilisante malgré le fait que ça reste les conséquences de leur liberté. Il faut faire quelque chose, mais trouver des coupables derrière des causes dont ils ne sont pas individuellement responsables (le concept de pauvreté n'a pas été crée par un riche, mais par la présence d'une richesse), c'est peut-être aller trop loin, non ?
Je suis comme toi, je n'aime pas le fatalisme, mais je n'aime pas m'en prendre à des gens qui ont les moyens d'aider et qui ne le font pas, on tombe trop facilement dans une rhétorique culpabilisante malgré le fait que ça reste les conséquences de leur liberté. Il faut faire quelque chose, mais trouver des coupables derrière des causes dont ils ne sont pas individuellement responsables (le concept de pauvreté n'a pas été crée par un riche, mais par la présence d'une richesse), c'est peut-être aller trop loin, non ?
Scylaax- Nouveau né
- Messages : 22
Date d'inscription : 21/01/2012
Age : 30
Localisation : Aux antipodes
Re: Mourir dans la rue, jusqu'à quand ?
rbb41,
Non, je ne suis pas très sûr de ma phrase.
Cela demanderait un long débat : je dis qu'une civilisation où des gens meurent de faim n'est pas bonne...
Et pourtant il ne suffit pas qu'une civilisation résolve ce problème pour être à coup sûr une bonne civilisation.
Pour nous expliquer mieux, il faudrait discuter des critères par lesquels nous hiérarchisons les civilisations.
Perso j'ai mon échelle de valeurs, mais je ne suis pas sûr qu'elle soit bien " raisonnée"
Non, je ne suis pas très sûr de ma phrase.
Cela demanderait un long débat : je dis qu'une civilisation où des gens meurent de faim n'est pas bonne...
Et pourtant il ne suffit pas qu'une civilisation résolve ce problème pour être à coup sûr une bonne civilisation.
Pour nous expliquer mieux, il faudrait discuter des critères par lesquels nous hiérarchisons les civilisations.
Perso j'ai mon échelle de valeurs, mais je ne suis pas sûr qu'elle soit bien " raisonnée"
Re: Mourir dans la rue, jusqu'à quand ?
Une bonne civilisation, n'est-elle pas une civilisation qui permet à ses membres de pouvoir au moins subvenir à ces besoins primaires ? Bien sûr que si !
Concernant le second degré, le second étage de la pyramide sociale, c'est une autre question. L'idéologie, la politique, la religion, la science, la culture... Tout cela ne peut se pratiquer le ventre vide.
En tous cas je suis certain que vous êtes tous des gens très généreux, et je le dis du fond du coeur ! Cela te concerne abac, mais concerne aussi Nelson, rbbe et beaucoup d'autres membres du forum...
Concernant le second degré, le second étage de la pyramide sociale, c'est une autre question. L'idéologie, la politique, la religion, la science, la culture... Tout cela ne peut se pratiquer le ventre vide.
En tous cas je suis certain que vous êtes tous des gens très généreux, et je le dis du fond du coeur ! Cela te concerne abac, mais concerne aussi Nelson, rbbe et beaucoup d'autres membres du forum...
Invité- Invité
Re: Mourir dans la rue, jusqu'à quand ?
Pensez-vous que plus le monde s'ouvre et est devenu ouvert, plus on s'occupe de ce/ceux qui nous est/sont proche (s) ? Les situations d'autrefois se sont encore exhacerbées, car il est bon tein d'aller en vacances, dépenser beaucoup d'argent pour soi, très loin 'pour oublier', changer de décor, enrichir 'sa' culture, plutôt que de cultiver le secours et l'entraide ! Tout, hélas ne demeure que mots. Je le dis hélas par épreuve personnelle du sujet. J'ai bien failli être assassinée chez moi pour avoir accueilli des personnes démunies, sortant de prison. Je travaillais <en tant que bénévole> en 1988, sur les fameuses libérations suite aux élections présidentielles. Comment faire le tri efficacement, comment contraindre des personnes qui 'préfèrent' vivre dans les bois, plutôt qu'eux devoir eux aussi se mélanger C'est très compliqué Carole Bouquet elle-même dit bien qu'elle a un grand appartement et qu'elle ne peut pas accueillir chez elle tous - ces gens - ! Toutes les sociétés, quelle qu'elles soient vomissent des horreurs. Par où commencer ? Comment faire pour que les enfants du voyage soient scolarisés durablement ? Nous avons tous des cultures différentes et certains tentent de cohabiter au mieux ; d'autres non !
LA JEANNE- Chien fou
- Messages : 143
Date d'inscription : 13/01/2012
Localisation : Au centre du LIVRE
Re: Mourir dans la rue, jusqu'à quand ?
Il y a bien des raisons qui expliquent la pauvreté.
Certaines catastrophes tombent sur les personnes sans qu'elles aient eu un comportement déraisonnable ( ex: fermeture d'usines )
Mais il est des personnes, qui au nom de leur liberté d'être, choisissent des voies qui conduisent à la déchéance ... et qui font ensuite appel à la charité publique ou à l'Etat providence : est-ce bien logique ?
Pour autant je crois qu'on doit les aider, mais qu'elles obéissent aux consignes qui les sortent de leur état et ne revendiquent pas le droit d'y retomber.
Ce qui et vrai au niveau des personnes l'est au niveau des peuples. Il est normal que les peuples disposent d'eux mêmes, rejettent leurs colonisateurs... Moins normal que ces pays échouent à donner une vie correcte à leurs peuples : la liberté d'être implique qu'on se prenne en charge et non qu'on fasse appel au secours auprès de ceux dont on a voulu s'émanciper.
D'accord pour aider ces peuples, chez eux, et non en les voyant tomber dans les mains des réseaux mafieux qui utilisent le malheur de clandestins qui n'ont pas trouvé le bonheur dans l'indépendance obtenue.
Pas très politiquement correct mon propos, mais il suffit de le contredire avec des arguments lucides et donc convaincants.
Certaines catastrophes tombent sur les personnes sans qu'elles aient eu un comportement déraisonnable ( ex: fermeture d'usines )
Mais il est des personnes, qui au nom de leur liberté d'être, choisissent des voies qui conduisent à la déchéance ... et qui font ensuite appel à la charité publique ou à l'Etat providence : est-ce bien logique ?
Pour autant je crois qu'on doit les aider, mais qu'elles obéissent aux consignes qui les sortent de leur état et ne revendiquent pas le droit d'y retomber.
Ce qui et vrai au niveau des personnes l'est au niveau des peuples. Il est normal que les peuples disposent d'eux mêmes, rejettent leurs colonisateurs... Moins normal que ces pays échouent à donner une vie correcte à leurs peuples : la liberté d'être implique qu'on se prenne en charge et non qu'on fasse appel au secours auprès de ceux dont on a voulu s'émanciper.
D'accord pour aider ces peuples, chez eux, et non en les voyant tomber dans les mains des réseaux mafieux qui utilisent le malheur de clandestins qui n'ont pas trouvé le bonheur dans l'indépendance obtenue.
Pas très politiquement correct mon propos, mais il suffit de le contredire avec des arguments lucides et donc convaincants.
Re: Mourir dans la rue, jusqu'à quand ?
On peut comparer avec la dictature libyenne.
La France a commercé du pétrole pendant des années avec la Libye, pour finir par se rallier à la logique...
P****de politiques !
La France a commercé du pétrole pendant des années avec la Libye, pour finir par se rallier à la logique...
P****de politiques !
Nelson- Grand Maitre Suprême
- Messages : 6859
Date d'inscription : 25/04/2011
Localisation : Hic et nunc
Re: Mourir dans la rue, jusqu'à quand ?
Plus simplement, et bien plus près de nous, des personnes naissent dans cette société sans vraiment savoir ce qu'elles y font ! Et je les comprends tellement... Alors le temps ne leur fait aucun cadeau, et comme ils ne parviennent pas à s'intégrer dans une communauté ou une autre, ils errent...
Jusqu'au jour où l'on s'aperçoit qu'ils avaient peut-être quelque chose à dire, mais il est trop tard.
Jusqu'au jour où l'on s'aperçoit qu'ils avaient peut-être quelque chose à dire, mais il est trop tard.
Invité- Invité
Re: Mourir dans la rue, jusqu'à quand ?
Si l'on s'en tient au cheminement des âmes, la vie, les sociétés, les épreuves, sont la toile émeri à éroder notre silex initial. Certes ça ne donne pas de toit à quiconque, ni même de pitance. Cela dit, puisque nous sommes sur un forum de 'philosophie + ou - hermétique' n'y-a-t-il rien à saisir à ce propos ? Je me le demande toujours.
LA JEANNE- Chien fou
- Messages : 143
Date d'inscription : 13/01/2012
Localisation : Au centre du LIVRE
Re: Mourir dans la rue, jusqu'à quand ?
Saisir quoi, Jeanne ?
C'est un problème politique; à la rigueur sociologique, sur lequel nous n'avons que peu de prise, concrètement.
C'est un problème politique; à la rigueur sociologique, sur lequel nous n'avons que peu de prise, concrètement.
Nelson- Grand Maitre Suprême
- Messages : 6859
Date d'inscription : 25/04/2011
Localisation : Hic et nunc
Re: Mourir dans la rue, jusqu'à quand ?
Les épreuves des incarnations. Ce n'est pour ma part que la seule explication 'logique' <enfin probable> pour ce type de disparité entre humains.Nelson a écrit:Saisir quoi, Jeanne ?
En effet, alors cela 'sert-il' ou non notre 'âme' ?C'est un problème politique; à la rigueur sociologique, sur lequel nous n'avons que peu de prise, concrètement.
LA JEANNE- Chien fou
- Messages : 143
Date d'inscription : 13/01/2012
Localisation : Au centre du LIVRE
Re: Mourir dans la rue, jusqu'à quand ?
Je ne sais pas à quoi "sert" un âme, si tant est qu'elle existe.
Il n'y a que deux solutions:
Ou elle n'existe pas,
Ou le phénomène dépasse notre (mon) entendement.
Je préfère rester humble en l'occurence, et continuer à chercher la lumière, où qu'elle se trouve.
Il n'y a que deux solutions:
Ou elle n'existe pas,
Ou le phénomène dépasse notre (mon) entendement.
Je préfère rester humble en l'occurence, et continuer à chercher la lumière, où qu'elle se trouve.
Nelson- Grand Maitre Suprême
- Messages : 6859
Date d'inscription : 25/04/2011
Localisation : Hic et nunc
Re: Mourir dans la rue, jusqu'à quand ?
Le doute et LA question sont au coeur de l'Homme (générique) , contrairement à l'animal. c'est une supputation et la Lumière existe pour les 'bonnes volontés' .
LA JEANNE- Chien fou
- Messages : 143
Date d'inscription : 13/01/2012
Localisation : Au centre du LIVRE
Re: Mourir dans la rue, jusqu'à quand ?
Certes. Mais la "bonne volonté" suffit-elle, sans la recherche constante qui devrait nous aiguiller ?
Nelson- Grand Maitre Suprême
- Messages : 6859
Date d'inscription : 25/04/2011
Localisation : Hic et nunc
Re: Mourir dans la rue, jusqu'à quand ?
C'est ce pourquoi en dépit de mon grand âge, je cherche toujours, malgré quelques expériences particulières à affiner encore et encore la recherche de l'ineffable.Nelson a écrit:Certes. Mais la "bonne volonté" suffit-elle, sans la recherche constante qui devrait nous aiguiller ?
LA JEANNE- Chien fou
- Messages : 143
Date d'inscription : 13/01/2012
Localisation : Au centre du LIVRE
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