Impressions nature
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Impressions nature
C'est un grand cercle nébuleux mais chaste !
D'où n'a émergé aucun plaisir...
La Lune n'est pas comme la belle Jocaste,
Mais elle enchante le Zéphir !
Les boutons se sont ouverts, et la corolle,
S'est épanouie au croissant...
Quand le poète pleure, ses vers s'envolent,
Dans un tartare angoissant !
Alors elle intervient, silencieuse et prude;
Telle une muse en la clairière
De l'âme errante qui cherchait un prélude,
Ô Lune ! Tu traduis sa prière.
Un grand ballon poétique et sans vacarme.
Passant entre les arbres nus,
Tu viens au soir essuyer quelques larmes,
Dans un vieux songe ténu.
Le poète fatigué s'endort sous ta lagune;
Où vient luire l'azur triomphant.
Et la campagne est verte, rose ou brune,
Dès l'aube, où naîtra un faon.
Tous les yeux du monde alors la reflètent,
Les étangs nient sa texture...
L'animal, l'ange, la flamme ou le poète,
Un coeur bat dans la nature.
C'est un grand cercle vertueux qui n'irradie,
Que des révélations pures.
Un soleil sur une terre qui parle d'Arcadie,
Pour des âmes obscures...
Le poète sait qu'un lait aussi nourrissant,
N'a pu naître que du sein
Des paysages et des azurs éblouissants,
De troublants essaims !
Et voilà, après son ineffable dissertation,
Il ne pense plus, ne dit mot...
Il vole paisiblement dans ses incantations,
Et se pose sur un bel ormeau.
Qui fleurira dès le printemps annonciateur;
Sous les arcs luisants...
Le transporteront comme un navigateur,
En aval des vers séduisants.
Olive.
D'où n'a émergé aucun plaisir...
La Lune n'est pas comme la belle Jocaste,
Mais elle enchante le Zéphir !
Les boutons se sont ouverts, et la corolle,
S'est épanouie au croissant...
Quand le poète pleure, ses vers s'envolent,
Dans un tartare angoissant !
Alors elle intervient, silencieuse et prude;
Telle une muse en la clairière
De l'âme errante qui cherchait un prélude,
Ô Lune ! Tu traduis sa prière.
Un grand ballon poétique et sans vacarme.
Passant entre les arbres nus,
Tu viens au soir essuyer quelques larmes,
Dans un vieux songe ténu.
Le poète fatigué s'endort sous ta lagune;
Où vient luire l'azur triomphant.
Et la campagne est verte, rose ou brune,
Dès l'aube, où naîtra un faon.
Tous les yeux du monde alors la reflètent,
Les étangs nient sa texture...
L'animal, l'ange, la flamme ou le poète,
Un coeur bat dans la nature.
C'est un grand cercle vertueux qui n'irradie,
Que des révélations pures.
Un soleil sur une terre qui parle d'Arcadie,
Pour des âmes obscures...
Le poète sait qu'un lait aussi nourrissant,
N'a pu naître que du sein
Des paysages et des azurs éblouissants,
De troublants essaims !
Et voilà, après son ineffable dissertation,
Il ne pense plus, ne dit mot...
Il vole paisiblement dans ses incantations,
Et se pose sur un bel ormeau.
Qui fleurira dès le printemps annonciateur;
Sous les arcs luisants...
Le transporteront comme un navigateur,
En aval des vers séduisants.
Olive.
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