Qu'est-ce que vous écoutez en ce moment ?

Je ne vois de soleil nulle part sur ce fil. Ni ailleurs, sur un autre.
Mais je vais très bien ainsi. Je suis habitué, dès longtemps, à voir et entendre des choses qui ne m'agréent pas. Place aux autres, qui ont des droits égaux aux miens.

Moi quand j'ai un coup de blues Hérodote j'écoute:

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Amitié

Merci Aubrac !
Max Roach à la batterie, ça le fait !!!

Guthrie a écrit:Hérodote, vous me semblez avoir un cruel coup de blues.
Tenez, mon ami, regardez ce petit bout de femme !
Elle ensoleille les fins d'après-midi les plus incertaines :

c'est fou, les mecs de l'orchestre ont un balai dans le c.. pas un seul ne bouge, ni ne marque le tempo, ni ne claquent des doigts ...

Pourtant, elle est hyper pétillante la pianiste, non ?

Je ne sais pas ce que c'est qu'un coup de blues. Quand j'avais le "cafard", le "bourdon" ou quelque chose comme celà je me f...ais un grand coup de pied au cul et ça repartait droit. Il y a longtemps que je n'ai plus rien de tout celà. Ai appris à maîtriser tout ce qui m'arrive.
De plus, le "blues" c'est du jazz, et je n'aime pas le jazz. Sa mère n'aimant pas du tout non plus, je pense que notre fils; Jean-Dominique, a recueilli ce goût du jazz , en acquis et pas du tout en inné.
Avec lui vous pouvez parler et je sais qu'il est très apprécié ici. Tant mieux. Il vaut mieux parler à lui plutôt qu'à moi qui ne suis, et de loin, plus à la mode. De "musique" aussi, car il aime tout ce que je n'aime pas.
Tant que j'y suis, Bach m'ennuie à mourir, le Philharm' viennois est toujours aussi pâtonneux ("pâtonner" le finale de la Vème, c'est un cas!) comme il a toujours "pâtonné" depuis ma prime jeunesse. Il ne manquait qu'Harnoncourt !
Quant à l'alliage indissoluble hélas de Bach et de Gould, je répudie l'automatisme robotique du second que je ne puis supporter. J'ai beaucoup de piano chez moi, mais aucun Glenn Gould.. Surtout pas. Aussi avez-vous constaté que ma suggestion de faire quelque chose sur Beethoven a avorté. Beethoven ,qui n'a nullement été inspiré par Bach pour la célèbre "cavalcade des contre-basses" qui est une trouvaille beethovenienne faramineuse. Bach dont il n'a jamais écrit le nom une seule fois (cf Romain Rolland) et a été sorti de l'oubli dans lequel il était tombé par Félix Mendelssohn-Bartholdy). L'invention de la Fugue était bien antérieure à Bach. Déja, la musique Renaissance avait fait jaillir toute la quintessence du "contrepoint". Dans la fameuse inspiration bachienne de Beethoven, il ne s'agit de rien d'autre que d'un canon génial, comme tout ce qu'il faisait. Après les cordes hautes prenaient le relais en canon aussi. Que vouliez-vous qu'elles fissent ? un air à l'usisson? Comme Puccini le fera dans "Madame Butterfly" plus tard et qui est sa manière à lui, dramatique à sa façon, avec décrochage de la voix portée à l'unisson de l'orchestre et décrochant d'un coup.
"Voici, Monsieur, pourquoi vore fille est muette "(votre fils est sourd)

rrrrrraaahhhhh je reconnais bien là votre côté bougon Herodote: Vous êtes aussi fermé qu'un dictionnaire ouvert!!!!! Mais j'apprends par ce biais très étroit qu'est le "lien international virtuel" à vous apprécier AUSSI parce que vous préférez dire ce qui ne vous plait pas plutôt que redouter l'éventualité d'une friction amicale! Ah! Et poto Guth en sera le premier ravi j'en suis sûr, sincèrement! Ceci dit, Ö qu'il nous plairait de vous lire si jamais vous en veniez à apprécier ce style! Je f'rais presqu'une petite prière athée dites donc!! ( me souviens plus du contenu d'une telle procédure)

Bonne soirée à tou)te(s !

Albinoni s'est invité ce soir.

L'adagio ? Qui paraît-il n'est pas de lui, mais j'adore ce morceau...

pas que ça, mais comme c'est sur l'ordi de ma madame et qu'elle est concentrée, je ne vais pas lui demander ce qui tourne pour l'instant. En tout cas cela reste reposant pour terminer la soirée.

On n'est pas sûr qu'Albinoni ait jamais existé , Ou qu'il ait jamais su écrire de la musique !
Mais on n'est pas sûr qu'Homère ait existé. Pourtant l'"Iliade" et l"Odyssée" sont les deux premiers chefs d'oeuvre de notre littérature.
Et si on cherche bien, Hérodote n'a peut-être jamais été en vie à un coin de l'Histoire. Ce qui le dispense d'être "bougon", ce qu'il n'est jamais. Irrité, oui. Bougon (ce vieux machin qui grommelle tout seul dans son coin...) non !

arf!!! "irrité, oui" ... c'est parce que je manque de "talc" ?




Je vous souhaite une bonne nuit Herodote!

(vraiment vous n'aimez pas le jazz?)

Hérodote toujours aussi piquant même quand on vous tend la main...

Aubrac : Je ne suis jamais piquant, avec les jolies dames. Tendez-moi encore votre jolie main et je vous montrerai combien je sais être respectueux en y déposant un baiser qui marquera combien je suis votre considérable débiteur pour tant de gentillesses !

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Ouais je sais c'est encore pas mon genre d'habitude mais je m'essaye aux nouvelles sonorités !

Particulièrement compatible avec la concentration

Sympa ! ^^ J'aime bien !

Libera.

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