Le syndrome d'Ariel
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Le syndrome d'Ariel
Et voilà que ses ailes luisent à présent,
Que ce Lucifer déchu s'est évaporé !
Et que n'ai-je alors appris en me taisant,
Plaisir apporté par l'attention de Borée...
Ma sublime et torride muse des monts,
Que Lucifer déchu m'aura permis d'orner;
De mes poricide baisers d'un Endymion,
Epris des pâleurs rosâtres de Sélénée !
Que Lucifer déchu disparu sous l'astre,
M'aura révélé sous ces ailes légères;
Avec ma candeur naturelle de pastre*
Sur sa Provence où chacun exagère !
J'ai caressé ta chevelure d'or, fauve;
Tu me vis, j'avais alors emprunté l'aile,
D'Ariel qui dépose l'ardeur dans l'alcôve,
Elaborant pour toi cette stance fidèle.
Oui je suis ton ange et tu es mon ciel !
J'avais tellement expié avant ton regard,
Qu'un inextinguible paradis, essentiel !
Confirmera qu'il n'arrive jamais trop tard.
Et que n'ai-je alors appris en me plaisant,
A te voir, au gré de tes inflorescences.
Ma muse des adrets tu es le seul présent
Pour lequel mon âme a lu sa confiance.
C'est le syndrome d'Ariel, l'incorruptible;
Cet amour céleste que tu reconnaîtras.
Et désormais plus rien n'est imperfectible,
Lorsque tu m'enveloppe avec ton aura...
Olive.
Que ce Lucifer déchu s'est évaporé !
Et que n'ai-je alors appris en me taisant,
Plaisir apporté par l'attention de Borée...
Ma sublime et torride muse des monts,
Que Lucifer déchu m'aura permis d'orner;
De mes poricide baisers d'un Endymion,
Epris des pâleurs rosâtres de Sélénée !
Que Lucifer déchu disparu sous l'astre,
M'aura révélé sous ces ailes légères;
Avec ma candeur naturelle de pastre*
Sur sa Provence où chacun exagère !
J'ai caressé ta chevelure d'or, fauve;
Tu me vis, j'avais alors emprunté l'aile,
D'Ariel qui dépose l'ardeur dans l'alcôve,
Elaborant pour toi cette stance fidèle.
Oui je suis ton ange et tu es mon ciel !
J'avais tellement expié avant ton regard,
Qu'un inextinguible paradis, essentiel !
Confirmera qu'il n'arrive jamais trop tard.
Et que n'ai-je alors appris en me plaisant,
A te voir, au gré de tes inflorescences.
Ma muse des adrets tu es le seul présent
Pour lequel mon âme a lu sa confiance.
C'est le syndrome d'Ariel, l'incorruptible;
Cet amour céleste que tu reconnaîtras.
Et désormais plus rien n'est imperfectible,
Lorsque tu m'enveloppe avec ton aura...
Olive.
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