Médecine : interrogation sur les anti-dépresseurs
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Re: Médecine : interrogation sur les anti-dépresseurs
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Mortyfaire- Petit Sage
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Re: Médecine : interrogation sur les anti-dépresseurs
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Mortyfaire- Petit Sage
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Re: Médecine : interrogation sur les anti-dépresseurs
Allez à 1:12:00 et écoutez bien la question
Mortyfaire- Petit Sage
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Re: Médecine : interrogation sur les anti-dépresseurs
Et si l'une des causes des états dépressifs provenait de la toxine d'une bactérie ?
Saviez-vous que même si vous éliminez une bactérie, vous n'avez pas éliminé ses toxines ?
Et si une protéine était responsable ?
Paludisme et toxoplasmose : découverte d’une protéine clé de l’infection
Les mécanismes d’invasion utilisés par les parasites responsables du paludisme et de la toxoplasmose sont encore très mal connus et semblent très éloignés de ceux décrits pour les bactéries. A Montpellier, Maryse Lebrun et son équipe résolvent peu à peu les énigmes. Ils viennent ainsi de décrire une nouvelle protéine impliquée dans la libération de molécules d’invasion et de facteurs de virulence dans les cellules hôtes.
Les mécanismes d’invasion des cellules hôtes par deux parasites de la grande famille des apicomplexes, Toxoplasma gondii et Plasmodium falciparum (respectivement responsables de la toxoplasmose et du paludisme), sont peu à peu élucidés. Maryse Lebrun et son équipe* s’y emploient. Ils viennent de découvrir et de décrire une protéine responsable de la libération de facteurs de virulence dans la cellule hôte : RASP2.
Les parasites contiennent notamment deux types de compartiments intracellulaires appelés micronèmes et rhoptries. Ils stockent des protéines impliquées dans l’invasion et la manipulation des cellules et du système immunitaire de l’hôte. Mais la façon dont ces "armes" sont libérées reste un mystère… en particulier pour ce qui concerne celles stockées dans les rhoptries. Pour en savoir plus, Maryse Lebrun et son équipe ont recherché les protéines présentes à la surface de ces derniers, susceptibles d’être impliquées dans l’expulsion (ou exocytose) de molécules à travers la membrane cellulaire.) des molécules qu'ils contiennent.
Pour ce travail, les chercheurs ont utilisé des banques publiques de données transcriptomiques des ARN produits lors de l’étape de transcription du génome, permettant de quantifier l’expression des gènes., qui reflètent la production de protéines par un organisme au cours de son cycle de vie. Ils ont regardé quels gènes étaient exprimés et traduits en protéine au cours de la formation de nouvelles rhoptries. Dans un second temps, ils ont sélectionné les protéines présentes à la fois dans les espèces Toxoplasma et Plasmodium, suspectant qu’un mécanisme comme l’exocytose, aussi déterminant pour la survie du parasite, était vraisemblablement conservé. Enfin, les chercheurs ont regardé si les protéines candidates étaient bien exprimées au pôle apical des rhoptries, c'est-à-dire là où se déroule la libération de leur contenu. C'est ainsi qu'ils ont fini par isoler une famille de protéines qu’ils ont appelées RASP 1, 2 et 3 pour Rhoptry Apical Surface Proteins.
En supprimant sélectivement l’activité de ces protéines dans des parasites en culture, les chercheurs ont constaté que l’absence de RASP1 et 3 n’affectait pas leur fonctionnement. Mais en l’absence de RASP2, ces organismes sont devenus incapables de libérer le contenu des rhoptries et donc d’envahir une cellule hôte, et de survivre. Ils ont alors décortiqué les anomalies fonctionnelles des parasites mutants et analysé la structure de la protéine. Résultat : un domaine de RASP2 peut se lier à deux lipides connus pour être impliqués dans les fusions membranaires, un mécanisme nécessaire à la libération du contenu d’organelles intracellulaires.
Pour les chercheurs il ne fait donc pas de doute que RASP2 est impliquée dans l’exocytose du contenu des rhoptries, une étape indispensable à l’invasion et la survie intracellulaire de ces parasites. Reste néanmoins à mieux caractériser le fonctionnement et la régulation de RASP2, et à découvrir d’éventuelles molécules partenaires. A terme, Maryse Lebrun espère fournir la description complète des phénomènes d’invasion par ces parasites : cela pourrait ouvrir de nouvelles pistes thérapeutiques contre les maladies dont ils sont responsables.
Note :
* UMR 5235 CNRS/Université Montpellier, Biogenèse membranaire et interactions avec la cellule hôte chez Plasmodium et Toxoplasma, équipe Invasion de la cellule hôte et survie intracellulaire des parasites Apicomplexa, Montpellier
Source : (2019)
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Saviez-vous que même si vous éliminez une bactérie, vous n'avez pas éliminé ses toxines ?
Et si une protéine était responsable ?
Paludisme et toxoplasmose : découverte d’une protéine clé de l’infection
Les mécanismes d’invasion utilisés par les parasites responsables du paludisme et de la toxoplasmose sont encore très mal connus et semblent très éloignés de ceux décrits pour les bactéries. A Montpellier, Maryse Lebrun et son équipe résolvent peu à peu les énigmes. Ils viennent ainsi de décrire une nouvelle protéine impliquée dans la libération de molécules d’invasion et de facteurs de virulence dans les cellules hôtes.
Les mécanismes d’invasion des cellules hôtes par deux parasites de la grande famille des apicomplexes, Toxoplasma gondii et Plasmodium falciparum (respectivement responsables de la toxoplasmose et du paludisme), sont peu à peu élucidés. Maryse Lebrun et son équipe* s’y emploient. Ils viennent de découvrir et de décrire une protéine responsable de la libération de facteurs de virulence dans la cellule hôte : RASP2.
Les parasites contiennent notamment deux types de compartiments intracellulaires appelés micronèmes et rhoptries. Ils stockent des protéines impliquées dans l’invasion et la manipulation des cellules et du système immunitaire de l’hôte. Mais la façon dont ces "armes" sont libérées reste un mystère… en particulier pour ce qui concerne celles stockées dans les rhoptries. Pour en savoir plus, Maryse Lebrun et son équipe ont recherché les protéines présentes à la surface de ces derniers, susceptibles d’être impliquées dans l’expulsion (ou exocytose) de molécules à travers la membrane cellulaire.) des molécules qu'ils contiennent.
La famille des RASP
Pour ce travail, les chercheurs ont utilisé des banques publiques de données transcriptomiques des ARN produits lors de l’étape de transcription du génome, permettant de quantifier l’expression des gènes., qui reflètent la production de protéines par un organisme au cours de son cycle de vie. Ils ont regardé quels gènes étaient exprimés et traduits en protéine au cours de la formation de nouvelles rhoptries. Dans un second temps, ils ont sélectionné les protéines présentes à la fois dans les espèces Toxoplasma et Plasmodium, suspectant qu’un mécanisme comme l’exocytose, aussi déterminant pour la survie du parasite, était vraisemblablement conservé. Enfin, les chercheurs ont regardé si les protéines candidates étaient bien exprimées au pôle apical des rhoptries, c'est-à-dire là où se déroule la libération de leur contenu. C'est ainsi qu'ils ont fini par isoler une famille de protéines qu’ils ont appelées RASP 1, 2 et 3 pour Rhoptry Apical Surface Proteins.
En supprimant sélectivement l’activité de ces protéines dans des parasites en culture, les chercheurs ont constaté que l’absence de RASP1 et 3 n’affectait pas leur fonctionnement. Mais en l’absence de RASP2, ces organismes sont devenus incapables de libérer le contenu des rhoptries et donc d’envahir une cellule hôte, et de survivre. Ils ont alors décortiqué les anomalies fonctionnelles des parasites mutants et analysé la structure de la protéine. Résultat : un domaine de RASP2 peut se lier à deux lipides connus pour être impliqués dans les fusions membranaires, un mécanisme nécessaire à la libération du contenu d’organelles intracellulaires.
Pour les chercheurs il ne fait donc pas de doute que RASP2 est impliquée dans l’exocytose du contenu des rhoptries, une étape indispensable à l’invasion et la survie intracellulaire de ces parasites. Reste néanmoins à mieux caractériser le fonctionnement et la régulation de RASP2, et à découvrir d’éventuelles molécules partenaires. A terme, Maryse Lebrun espère fournir la description complète des phénomènes d’invasion par ces parasites : cela pourrait ouvrir de nouvelles pistes thérapeutiques contre les maladies dont ils sont responsables.
Note :
* UMR 5235 CNRS/Université Montpellier, Biogenèse membranaire et interactions avec la cellule hôte chez Plasmodium et Toxoplasma, équipe Invasion de la cellule hôte et survie intracellulaire des parasites Apicomplexa, Montpellier
Source : (2019)
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Mortyfaire- Petit Sage
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Re: Médecine : interrogation sur les anti-dépresseurs
(Article de 2015)
Quand les microbes manipulent le cerveau
Microbiologie
Des troubles neuropsychiatriques comme l’autisme et l’anxiété semblent influencés par la flore intestinale chez la souris. Des recherches sont en cours chez l’humain
Cent mille milliards de bactéries, dix fois plus que nos propres cellules, peuplent le corps humain. Mis bout à bout, ces micro-organismes constitueraient une chaîne qui ferait deux fois et demie le tour de la Terre. Dans notre intestin, des milliers d’espèces bactériennes – réunies sous le terme de «microbiote» – ont trouvé refuge. Elles sont indispensables à la digestion d’une partie de nos aliments, qu’elles transforment en énergie.
Grâce aux progrès des techniques de séquençage à haut débit pour l’étude du génome, la recherche sur le microbiote connaît une explosion ces dernières années. Plusieurs travaux ont montré son influence sur des pathologies comme l’obésité et le diabète ou encore les allergies alimentaires. Le 12 janvier 2015, un nouveau projet européen regroupant une trentaine d’organisations de plus de quinze pays différents a été lancé afin d’étudier le rôle du microbiote sur la santé et sur la prévention de certaines maladies, notamment mentales.
Car si le lien entre flore intestinale et troubles de la nutrition est assez bien établi, l’effet du microbiote sur le comportement et l’humeur est un champ d’étude bien plus récent. Plusieurs études chez des modèles animaux ont montré une corrélation entre des déséquilibres du microbiote et des symptômes proches de ceux observés dans des maladies neuropsychiatriques.
Le microbiote influence-t-il le comportement? Pour répondre à cette question, les chercheurs ont recours à un modèle animal: des souris élevées dans un milieu stérile et dont le corps n’a pas été colonisé par les bactéries à la naissance. Une étude menée par des chercheurs de l’Université de Cork en Irlande, publiée en 2013 et reproduite depuis, a montré que ces souris sans bactéries, dites «axéniques», avaient un comportement social altéré: elles préféraient se trouver dans une cage vide plutôt que d’être entourées de leurs congénères. La restauration du microbiote dans le système digestif des souris axéniques par inoculation a rétabli un comportement social identique à celui des souris «contrôles».
Les bactéries intestinales semblent aussi jouer un rôle dans l’anxiété chez la souris. En 2013, des chercheurs canadiens ont fait des inoculations croisées de microbiote entre des souris anxieuses et des souris aventureuses. Ils ont observé que ce transfert de bactéries intestinales rendait les souris aventureuses plus anxieuses et vice versa. Mais comment les bactéries de l’intestin de souris peuvent-elles influencer leur comportement?
«Ces observations pourraient s’expliquer à plusieurs niveaux, explique Jacques Schrenzel, responsable du laboratoire de bactériologie des Hôpitaux universitaires de Genève (HUG). Une espèce bactérienne peut dominer les autres ou disparaître, entraînant l’augmentation ou la diminution de certaines molécules fabriquées par les micro-organismes. Les bactéries produisent en effet des déchets qui peuvent passer la barrière intestinale, de là entrer dans le sang et avoir un effet à distance. Ces composés peuvent aussi agir directement sur les autres cellules du tube digestif, comme les neurones qui permettent à l’intestin de se contracter ou les cellules immunitaires qui montent la garde. Ces dernières sont responsables de phénomènes inflammatoires qui jouent certainement un rôle important.»
Pour l’instant, rares sont les mécanismes qui ont été mis au jour pour expliquer un lien de cause à effet entre déséquilibre du microbiote et symptômes psychiatriques. Des pistes se précisent dans l’étude de l’autisme chez la souris. En 2010, le neurologue Derrick MacFabe et son équipe de l’Université de Western Ontario au Canada ont montré que l’injection de propionate, un acide gras produit par certaines bactéries intestinales lors de la dégradation des sucres, provoque les troubles comportementaux de l’autisme chez des rats. Plus tard, en 2013, une étude du biologiste Sarkis Mazmanian de l’Institut de technologie de Californie (Caltech) parue dans Cell a montré que, chez des souris avec des troubles autistiques, l’intestin contenait moins de bactéries du type Bacteroides fragilis que chez les souris normales. Le sang de ces rongeurs contenait également une grande quantité d’un métabolite produit par le microbiote, le 4EPS. L’injection directe de 4EPS à des souris normales a entraîné des symptômes autistiques.
Chez l’humain, les choses sont beaucoup plus complexes et il n’existe que de très rares liens directs établis entre microbiote et maladies mentales. Chez les malades atteints d’encéphalopathie hépatique, souffrant entre autres de troubles de l’humeur et de l’attention, le foie n’est plus capable de remplir sa fonction de détoxification. Le microbiote, lui, est modifié et produit une grande quantité d’ ammonium, une molécule composée d’azote et d’hydrogène, aux propriétés acidifiantes dans l’eau. Faute d’être éliminé, ce surplus d’ammonium passe dans le sang du patient et atteint le cerveau. Un traitement par antibiotique améliore les symptômes neuropsychiatriques.
Au début des années 2000, une étude clinique a montré chez des jeunes enfants diagnostiqués autistes, dont la flore intestinale était modifiée, l’effet positif d’un traitement antibiotique ciblé, la vancomycine. Plus récemment, fin 2014, une équipe finlandaise a analysé le microbiote de 72 patients souffrant de la maladie de Parkinson. Il contenait beaucoup moins de bactéries de la famille des Prevotellaceae que le groupe «contrôle».
«En tant que clinicien, je trouve ces résultats intéressants, remarque Michel Maillard, gastéro-entérologue au CHUV à Lausanne. Mais on est encore loin de pouvoir guérir des patients en manipulant le microbiote. On a besoin de plus d’études à grande échelle et de connaissances sur les mécanismes.» Et Jacques Schrenzel d’ajouter: «On ne sait pas non plus ce qu’est un microbiote normal.» Chaque individu possède dans son intestin un éventail d’espèces bactériennes qui lui est propre et qui évolue au cours du temps.
Comment pourrait-on agir sur le microbiote? Une thérapie a récemment fait ses preuves: la technique de transplantation fécale, qui consiste à remplacer la flore intestinale d’un malade par celle d’un donneur. Elle est actuellement utilisée pour guérir des patients souffrant d’une infection chronique causée par la bactérie Clostridium difficile .
L’effet de probiotiques (bactéries et levures «bénéfiques» pour le microbiote) et de prébiotiques (molécules rétablissant l’équilibre du microbiote) est une piste de recherche, qui intéresse notamment l’industrie agroalimentaire. A l’instar d’une étude m enée par des chercheurs américains et financée par Danone, dont les résultats, publiés en 2013 dans la revue Gastroenterology , ont montré chez des femmes que la consommation de probiotiques modifiait l’activité de zones cérébrales impliquées dans le contrôle des émotions.
Nos bactéries nous manipulent-elles? Toutes ces études suggèrent qu’elles agiraient sur notre cerveau de manière directe ou indirecte. Mais le microbiote n’a pas encore révélé tous ses secrets.
«Les bactéries produisent des déchets qui peuvent passer de l’intestin dans le sang et agir à distance»
Source :
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Quand les microbes manipulent le cerveau
Microbiologie
Des troubles neuropsychiatriques comme l’autisme et l’anxiété semblent influencés par la flore intestinale chez la souris. Des recherches sont en cours chez l’humain
Cent mille milliards de bactéries, dix fois plus que nos propres cellules, peuplent le corps humain. Mis bout à bout, ces micro-organismes constitueraient une chaîne qui ferait deux fois et demie le tour de la Terre. Dans notre intestin, des milliers d’espèces bactériennes – réunies sous le terme de «microbiote» – ont trouvé refuge. Elles sont indispensables à la digestion d’une partie de nos aliments, qu’elles transforment en énergie.
Grâce aux progrès des techniques de séquençage à haut débit pour l’étude du génome, la recherche sur le microbiote connaît une explosion ces dernières années. Plusieurs travaux ont montré son influence sur des pathologies comme l’obésité et le diabète ou encore les allergies alimentaires. Le 12 janvier 2015, un nouveau projet européen regroupant une trentaine d’organisations de plus de quinze pays différents a été lancé afin d’étudier le rôle du microbiote sur la santé et sur la prévention de certaines maladies, notamment mentales.
Car si le lien entre flore intestinale et troubles de la nutrition est assez bien établi, l’effet du microbiote sur le comportement et l’humeur est un champ d’étude bien plus récent. Plusieurs études chez des modèles animaux ont montré une corrélation entre des déséquilibres du microbiote et des symptômes proches de ceux observés dans des maladies neuropsychiatriques.
Le microbiote influence-t-il le comportement? Pour répondre à cette question, les chercheurs ont recours à un modèle animal: des souris élevées dans un milieu stérile et dont le corps n’a pas été colonisé par les bactéries à la naissance. Une étude menée par des chercheurs de l’Université de Cork en Irlande, publiée en 2013 et reproduite depuis, a montré que ces souris sans bactéries, dites «axéniques», avaient un comportement social altéré: elles préféraient se trouver dans une cage vide plutôt que d’être entourées de leurs congénères. La restauration du microbiote dans le système digestif des souris axéniques par inoculation a rétabli un comportement social identique à celui des souris «contrôles».
Les bactéries intestinales semblent aussi jouer un rôle dans l’anxiété chez la souris. En 2013, des chercheurs canadiens ont fait des inoculations croisées de microbiote entre des souris anxieuses et des souris aventureuses. Ils ont observé que ce transfert de bactéries intestinales rendait les souris aventureuses plus anxieuses et vice versa. Mais comment les bactéries de l’intestin de souris peuvent-elles influencer leur comportement?
«Ces observations pourraient s’expliquer à plusieurs niveaux, explique Jacques Schrenzel, responsable du laboratoire de bactériologie des Hôpitaux universitaires de Genève (HUG). Une espèce bactérienne peut dominer les autres ou disparaître, entraînant l’augmentation ou la diminution de certaines molécules fabriquées par les micro-organismes. Les bactéries produisent en effet des déchets qui peuvent passer la barrière intestinale, de là entrer dans le sang et avoir un effet à distance. Ces composés peuvent aussi agir directement sur les autres cellules du tube digestif, comme les neurones qui permettent à l’intestin de se contracter ou les cellules immunitaires qui montent la garde. Ces dernières sont responsables de phénomènes inflammatoires qui jouent certainement un rôle important.»
Pour l’instant, rares sont les mécanismes qui ont été mis au jour pour expliquer un lien de cause à effet entre déséquilibre du microbiote et symptômes psychiatriques. Des pistes se précisent dans l’étude de l’autisme chez la souris. En 2010, le neurologue Derrick MacFabe et son équipe de l’Université de Western Ontario au Canada ont montré que l’injection de propionate, un acide gras produit par certaines bactéries intestinales lors de la dégradation des sucres, provoque les troubles comportementaux de l’autisme chez des rats. Plus tard, en 2013, une étude du biologiste Sarkis Mazmanian de l’Institut de technologie de Californie (Caltech) parue dans Cell a montré que, chez des souris avec des troubles autistiques, l’intestin contenait moins de bactéries du type Bacteroides fragilis que chez les souris normales. Le sang de ces rongeurs contenait également une grande quantité d’un métabolite produit par le microbiote, le 4EPS. L’injection directe de 4EPS à des souris normales a entraîné des symptômes autistiques.
Chez l’humain, les choses sont beaucoup plus complexes et il n’existe que de très rares liens directs établis entre microbiote et maladies mentales. Chez les malades atteints d’encéphalopathie hépatique, souffrant entre autres de troubles de l’humeur et de l’attention, le foie n’est plus capable de remplir sa fonction de détoxification. Le microbiote, lui, est modifié et produit une grande quantité d’ ammonium, une molécule composée d’azote et d’hydrogène, aux propriétés acidifiantes dans l’eau. Faute d’être éliminé, ce surplus d’ammonium passe dans le sang du patient et atteint le cerveau. Un traitement par antibiotique améliore les symptômes neuropsychiatriques.
Au début des années 2000, une étude clinique a montré chez des jeunes enfants diagnostiqués autistes, dont la flore intestinale était modifiée, l’effet positif d’un traitement antibiotique ciblé, la vancomycine. Plus récemment, fin 2014, une équipe finlandaise a analysé le microbiote de 72 patients souffrant de la maladie de Parkinson. Il contenait beaucoup moins de bactéries de la famille des Prevotellaceae que le groupe «contrôle».
«En tant que clinicien, je trouve ces résultats intéressants, remarque Michel Maillard, gastéro-entérologue au CHUV à Lausanne. Mais on est encore loin de pouvoir guérir des patients en manipulant le microbiote. On a besoin de plus d’études à grande échelle et de connaissances sur les mécanismes.» Et Jacques Schrenzel d’ajouter: «On ne sait pas non plus ce qu’est un microbiote normal.» Chaque individu possède dans son intestin un éventail d’espèces bactériennes qui lui est propre et qui évolue au cours du temps.
Comment pourrait-on agir sur le microbiote? Une thérapie a récemment fait ses preuves: la technique de transplantation fécale, qui consiste à remplacer la flore intestinale d’un malade par celle d’un donneur. Elle est actuellement utilisée pour guérir des patients souffrant d’une infection chronique causée par la bactérie Clostridium difficile .
L’effet de probiotiques (bactéries et levures «bénéfiques» pour le microbiote) et de prébiotiques (molécules rétablissant l’équilibre du microbiote) est une piste de recherche, qui intéresse notamment l’industrie agroalimentaire. A l’instar d’une étude m enée par des chercheurs américains et financée par Danone, dont les résultats, publiés en 2013 dans la revue Gastroenterology , ont montré chez des femmes que la consommation de probiotiques modifiait l’activité de zones cérébrales impliquées dans le contrôle des émotions.
Nos bactéries nous manipulent-elles? Toutes ces études suggèrent qu’elles agiraient sur notre cerveau de manière directe ou indirecte. Mais le microbiote n’a pas encore révélé tous ses secrets.
«Les bactéries produisent des déchets qui peuvent passer de l’intestin dans le sang et agir à distance»
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Mortyfaire- Petit Sage
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Mortyfaire- Petit Sage
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Re: Médecine : interrogation sur les anti-dépresseurs
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Mortyfaire- Petit Sage
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Re: Médecine : interrogation sur les anti-dépresseurs
Lorsque vous prenez des antibiotiques, vous attaquez aussi vos "bonnes" bactéries qui sont dans votre intestin et vous affaiblissez votre système immunitaire pour rien, surtout si vous faites l'objet d'une attaque virale : les antibiotiques ne peuvent pas combattre les virus, comme par exemple la rage.
De plus, un antibiotique ne s'attaque pas aux toxines émises par les bactéries, comme par exemple le botulisme. Ou pour le tétanos, "rare" mais mortel : vive la vaccination !
Illustration par article ici : botulisme
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Quand vous êtes affaiblis, malades, vous subissez aussi un état dépressif, plus ou moins inconscient : tout dépend de quoi vous souffrez et de votre tempérament.
Prendre des antibiotiques a des répercutions (estomac, rein, ...) et vous fatigue AUSSI, en plus d'avoir d'autres effets secondaires, sans entrer dans les détails (des bactéries peuvent aussi devenir résistantes ou votre organisme peut être insensible en fonction de votre génotype mais c'est un autre, très gros, sujet)...
Il est donc très important de ne pas prendre des antibiotiques au hasard, car ça ne résoudra rien pour les toxines et les virus.
Malgré les apparences, c'est très difficile de pouvoir faire la différence entre, par exemple une angine bactérienne et une angine virale au premier coup d'oeil.
Et non, l'idée répandue que l'une est "blanche" et l'autre "rouge" est complètement FAUSSE.
Il arrive que les médecins prescrivent des antibiotiques sans savoir si ça sera utile ou pas.
Une angine peut se guérir toute seule (par nos défenses immunitaires et avec éventuellement l'aide d'anti inflammatoires) OU se transformer en bronchite et OU plus gravement en pneumonie, ect...
Il n'y a pas de règle, il y a autant de situations différentes que de personnes.
Imaginez bien qu'une maladie ou un état dont on ne connaîtrait pas du tout la CAUSE ni son origine, si celle-ci provenait de la toxine d'une bactérie ou d'un virus, voire d'une combinaison de tout cela (une "coopération" entre bactéries et virus, ça existe aussi), il serait quasi IMPOSSIBLE de trouver un traitement.
Parfois la médecine essaie de "soigner" des SYMPTÔMES isolés mais elle échoue à guérir la CAUSE et les CONSEQUENCES. Il arrive même que les conséquences soient plus importantes que prévu : la fameuse balance bénéfice / risque.
Imaginez la difficulté qu'ont les scientifiques alors même qu'ils ne connaissent pas précisément la cause bactérienne ou virale d'une maladie parce qu'ils sont dans l'incapacité de l'identifier parmi une souche de milliers de bactéries et virus. Et quand c'est la cas, rappelons-nous que tous les vaccins ne font pas consensus, certains sont même très contestés (comme le Gardasil par exemple, malgré les apparences, qui rappelons nous, sont toujours trompeuses).
Prendriez-vous un "traitement supposé" qui fonctionnerait soi-disant ou "peut-être, on ne sait jamais" (sans aucune preuve scientifique) basé sur une théorie, par ailleurs contestée ?
Autrement dit quelque chose comme : "nous ignorons complètement la cause, mais nous supposons qu'il y a un dérèglement chimique. Nous ne savons pas comment équilibrer les hormones du cerveau, mais nous supposons que "telle molécule", trouvée au hasard, va peut-être arranger le problème".
Si oui, vous êtes libres de prendre des antidépresseurs et de prier pour que l'effet placebo vous soit clément et que votre organisme élimine ces molécules intruses dont vous croyez savoir le fonctionnement par une large propagande mais qui est juste théorique.
En plus, même si la théorie est vraie (dérèglement chimique), rien du tout ne prouve que le "traitement" fonctionne. D'ailleurs il n'y en pas seulement un, mais plusieurs, ce qui est presque une preuve en elle-même par son caractère aléatoire : dans toute cette diversité, aucun ne bénéficie d'aucune preuve incontestable, AUCUN.
En revanche, on sait que ces "traitements" fonctionnent un peu comme des drogues et comme chacun sait, les drogues n'apportent pas de bénéfice au cerveau, au contraire (comme l'alcool ou le tabac par exemple). Aucune drogue ne peut soigner une maladie, éventuellement la masquer (je pense à la morphine) mais toutes les drogues peuvent provoquer des maladies (même la morphine a ses effets secondaires si on en abuse).
Reprenons le cas de l'angine, si elle est virale et que vous prenez des antibiotiques, vous allez pensé avoir été guéri par ce biais. Non seulement ce sera faux, mais en plus vous aurez ralenti votre processus de guérison en "voulant bien faire".
Et pour les personnes qui ne vont pas guérir, parce que ça arrive, on vous dira qu'il faut changer d'antibiotiques : évidemment, ce n'est toujours pas ça qui va vous guérir de votre angine virale, au contraire. Mais ce qui est certain, c'est que votre organisme va tomber encore plus gravement malade parce que votre système immunitaire va s'emballer et vous attaquer (le contraire de ce qui était recherché).
Attention aux acouphènes provoqués par les médicaments ototoxiques et ne prenez pas d'antidépresseurs que les médecins vous prescrivent, ça ne changera rien.
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Mortyfaire- Petit Sage
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Re: Médecine : interrogation sur les anti-dépresseurs
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Mortyfaire- Petit Sage
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Re: Médecine : interrogation sur les anti-dépresseurs
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Mortyfaire- Petit Sage
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Re: Médecine : interrogation sur les anti-dépresseurs
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Mortyfaire- Petit Sage
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Dépression, le mal du siècle ?
à partir de 28:50 :
"Des gens qui ont été diagnostiqués dépressifs par des dizaines de psychiatres et qui suivent un "traitement" depuis de très longues années, ne guérissent pas et ont vu leur état de santé s'aggraver."
Dépression, le mal du siècle ?
Enquête sur la généralisation de ce mal grandissant qui menace nos sociétés modernes.
Réalisation : Michèle Dominici
Comme par hasard, la vidéo n'est plus disponible.
J'ai un autre lien mais je ne le mettrais pas ici....
Boutique ARTE, dépression une épidémie mondiale
Sinon un lien (pas de censure via le biais de Youtube ici) : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
"Les médicaments ne sont pas aussi efficaces ni aussi sûrs que nous le pensons et comportent en réalité de gros risques.
De plus, une grande partie des informations dont les médecins disposent sur la sûreté et l'efficacité des médicaments est nettement biaisée, exagérant les bénéfices et minimisant les risques, voire même dissimulant des faits importants... "
"Des gens qui ont été diagnostiqués dépressifs par des dizaines de psychiatres et qui suivent un "traitement" depuis de très longues années, ne guérissent pas et ont vu leur état de santé s'aggraver."
Dépression, le mal du siècle ?
Enquête sur la généralisation de ce mal grandissant qui menace nos sociétés modernes.
Réalisation : Michèle Dominici
Comme par hasard, la vidéo n'est plus disponible.
J'ai un autre lien mais je ne le mettrais pas ici....
Boutique ARTE, dépression une épidémie mondiale
Sinon un lien (pas de censure via le biais de Youtube ici) : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
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Mortyfaire- Petit Sage
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Re: Médecine : interrogation sur les anti-dépresseurs
Rappelez vous la très nombreuse propagande qui a envahit tous nos médias "prenez des médicaments, n'arrêtez surtout pas vos médicaments sous peine de récidive..."
RT France - Accros aux médicaments (17/01/2018)
L’industrie pharmaceutique des Etats-Unis tire d’énormes bénéfices des traitements des troubles mentaux qui sont souvent prescrits dès le plus jeune âge. RT rencontre ceux qui mènent une bataille contre la dépendance et les géants pharmaceutiques.
RT France - Accros aux médicaments (17/01/2018)
L’industrie pharmaceutique des Etats-Unis tire d’énormes bénéfices des traitements des troubles mentaux qui sont souvent prescrits dès le plus jeune âge. RT rencontre ceux qui mènent une bataille contre la dépendance et les géants pharmaceutiques.
Mortyfaire- Petit Sage
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Re: Médecine : interrogation sur les anti-dépresseurs
CASH INVESTIGATION - FRANCE Télévisions
Les vendeurs de maladies (intégrale)
Elise Lucet s'intéresse aux «vendeurs de maladies», ces laboratoires qui inventent de toutes pièces une pathologie pouvant correspondre à la nouvelle molécule qu'ils viennent de mettre au point, parfois malgré des effets secondaires avérés, pour lesquels ils ont déjà prévu de nouveaux médicaments.
Santé : la loi du marché (intégrale)
Longtemps érigé en modèle, le système de santé français est aujourd'hui au bord de l'asphyxie. En 2014, le trou de la sécurité sociale a atteint plus de onze milliards d'euros, deux milliards de plus que prévu. En quinze ans, la dette des hôpitaux publics a été multipliée par trois. Pour sortir de cette situation catastrophique, une dangereuse course à la rentabilité s'est engagée. Multiplication des actes inutiles mais rémunérateurs, recours aux sociétés d'optimisation, médicaments à l'efficacité contestée : pendant un an, Elise Lucet et l'équipe de «Cash investigation» ont mené l'enquête. Plusieurs reportages mettent en lumière des pratiques effarantes, qui plombent le système de santé.
Les vendeurs de maladies (intégrale)
Elise Lucet s'intéresse aux «vendeurs de maladies», ces laboratoires qui inventent de toutes pièces une pathologie pouvant correspondre à la nouvelle molécule qu'ils viennent de mettre au point, parfois malgré des effets secondaires avérés, pour lesquels ils ont déjà prévu de nouveaux médicaments.
Santé : la loi du marché (intégrale)
Longtemps érigé en modèle, le système de santé français est aujourd'hui au bord de l'asphyxie. En 2014, le trou de la sécurité sociale a atteint plus de onze milliards d'euros, deux milliards de plus que prévu. En quinze ans, la dette des hôpitaux publics a été multipliée par trois. Pour sortir de cette situation catastrophique, une dangereuse course à la rentabilité s'est engagée. Multiplication des actes inutiles mais rémunérateurs, recours aux sociétés d'optimisation, médicaments à l'efficacité contestée : pendant un an, Elise Lucet et l'équipe de «Cash investigation» ont mené l'enquête. Plusieurs reportages mettent en lumière des pratiques effarantes, qui plombent le système de santé.
Mortyfaire- Petit Sage
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Re: Médecine : interrogation sur les anti-dépresseurs
Dans un registre similaire, les labos ont aussi sévi sur le marché des "painkillers" aux USA:
Re: Médecine : interrogation sur les anti-dépresseurs
.
Dernière édition par Mortyfaire le Mer 21 Juil - 20:16, édité 1 fois
Mortyfaire- Petit Sage
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Re: Médecine : interrogation sur les anti-dépresseurs
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France Culture 2018 - lobbying
Le Monde 2018 - lobbys
France Inter 2020 : désinformation scientifique
UQAM 2020 - Lobbies, science sous influence (ça parle de la famille Freud aussi, vous verrez)
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Arte 2021 - La fabrique de l'ignorance
BlackRock, Arte 2020
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Dernière édition par Mortyfaire le Mer 21 Juil - 20:58, édité 3 fois
Mortyfaire- Petit Sage
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Re: Médecine : interrogation sur les anti-dépresseurs
Je viens de parcourir les deux dernières pages et...tu n'aurais pas un peu l'impression de (quasi) monologuer, des fois ?
Hilde- Petit Sage
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patos et Philbour aiment ce message
Re: Médecine : interrogation sur les anti-dépresseurs
Court extrait
Dernière édition par Mortyfaire le Mer 21 Juil - 22:22, édité 4 fois
Mortyfaire- Petit Sage
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Re: Médecine : interrogation sur les anti-dépresseurs
En tout cas, tu es une mine d'informations Mortyfaire. Ce qui me fascine, c'est la richesse de tes posts, qui sont tous sourcés. Moi même, plutôt hyperactif de nature, j'ai parfois du mal à suivre ^^
Il faut dire que les videos sont très chronophages.
Peut-être devrais-tu penser à condenser d'avantage ton propos.
Pour avoir fait ma thèse de fin de cycle universitaire sur le neuromarketing, il faut que tu saches (mais je pense que tu le sais déjà) que 90% des internautes ne liront pas un post de plus de 10-15 lignes.
Amicalement!...
Il faut dire que les videos sont très chronophages.
Peut-être devrais-tu penser à condenser d'avantage ton propos.
Pour avoir fait ma thèse de fin de cycle universitaire sur le neuromarketing, il faut que tu saches (mais je pense que tu le sais déjà) que 90% des internautes ne liront pas un post de plus de 10-15 lignes.
Amicalement!...
Mortyfaire aime ce message
Re: Médecine : interrogation sur les anti-dépresseurs
Dernière édition par Mortyfaire le Mer 21 Juil - 20:59, édité 2 fois
Mortyfaire- Petit Sage
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Re: Médecine : interrogation sur les anti-dépresseurs
Dernière édition par Mortyfaire le Mer 21 Juil - 22:30, édité 2 fois
Mortyfaire- Petit Sage
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Re: Médecine : interrogation sur les anti-dépresseurs
la manipulation a existé de tous temps , les mensonges commerciaux aussi , et à côté de ça il y a des gens honnêtes ...faut arrêter de tout peindre en noir
patos- Admin
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Philbour, YNRJ et Hilde aiment ce message
Re: Médecine : interrogation sur les anti-dépresseurs
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Dernière édition par Mortyfaire le Mer 21 Juil - 20:59, édité 1 fois
Mortyfaire- Petit Sage
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Re: Médecine : interrogation sur les anti-dépresseurs
Bah dis donc. Heureusement que tu es arrivée sur ce forum pour nous révéler la Vérité, à nous pauvres âmes en peine...
Hilde- Petit Sage
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YNRJ n'aime pas ce message
Re: Médecine : interrogation sur les anti-dépresseurs
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Dernière édition par Mortyfaire le Mer 21 Juil - 22:34, édité 2 fois
Mortyfaire- Petit Sage
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